Il n'est aucun mortel qui puisse se dire libre. Esclave des richesses ou de la fortune, soumis aux caprices de la multitude, ou aux ordres arbitraires des lois, l'homme, dans sa conduite, ne dépend jamais de lui-même.
La vérité parle un langage sans détour, et la justice n'a que faire d'explications compliquées. Elle trouve en soi son opportunité, tandis que l'injustice, viciée en son essence, réclame des sophismes pour remède.