• Je ne vais pas mal. Mais rassurez-vous, un jour, je ne manquerai pas de mourir.
    Conférence de presse, 4 février 1965
  • Je vois les reflets d'une aurore dont je ne verrai pas se lever le soleil.
    Mémoires d'outre-tombe (1848)
  • Tout nous ramène à quelque idée de la mort, parce que cette idée est au fond de la vie.
    Voyage en Amérique (1827)
  • Le grand tort des hommes, dans leur songe de bonheur, est d'oublier cette infirmité de la mort attachée à leur nature.
  • Nous avons toute la mort pour nous reposer.
    La plus que vive, éd Gallimard
  • L'absence d'un mort nous inonde de sa présence, et nous le rend encore plus cher.
    La lumière du monde, ed. Gallimard
  • Mourir, c'est comme tomber amoureux : on disparaît, et on ne donne plus de nouvelles à personne.
    Le Christ aux coquelicots, éd. Lettres Vives
  • Rien de plus heureux que de penser à ceux qui ne sont plus : ils reviennent par cette pensée et c'est comme si on gagnait au bras de fer avec la mort, éprouvant la douceur d'être momentanément vainqueur des ténèbres.
  • Pourquoi aimons-nous tant les feuilles mortes alors qu'elles sont le signe de notre fin, sinon parce que nous avons profondément besoin d'être menés loin du monde ?
  • La mort, ce secret qui appartiendra à tout le monde.
  • Qu'est-ce que la mort ? Un mauvais moment à trépasser.
    Les réflexions de Monsieur F.A.T., éd. Mercure de France
  • Mourir c'est comme changer un vêtement usé pour un neuf.
  • L'être humain [...] pense au futur, au point d'oublier le présent, de sorte qu'il ne vit ni dans le présent, ni dans le futur. Finalement, il vit comme s'il n'allait jamais mourir et il meurt comme s'il n'avait jamais vécu.
  • [...] la mort, c'est la fin des opinions. Mourir, c'est troquer nos opinions contre un point de vue.
    Messieurs les enfants, éd. Gallimard
  • [...] mourir, c'est enterrer tout le monde en une seule fois.
    Messieurs les enfants, éd. Gallimard
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