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Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés...
Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés...
On est toujours maladroit avec les gens qu'on aime.
Je crois bien que c'est ça le vrai amour : avoir l'impression d'être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer, de se tortiller pour plaire à l'autre, rester comme on est.
Tout le monde se bat pour avoir toujours plus d'argent et est-ce que le monde est meilleur ? Est-ce que les gens vont mieux ? Est-ce qu'ils sifflent dans la rue ? Non [...] il n'y a que l'amour qui remplit vraiment.
Ce doit être ça, l'amour : quand le regard de l'autre voit en vous ce que vous ne voyez pas vous-même, l'extrait comme une pépite dorée et vous l'offre.
Quand l'âme, le coeur et le corps s'enlacent et s'envolent, alors c'est le grand amour.
L'amour demande tant de fines stratégies pour garder l'amoureux en son nid.
L'amour, c'est que tu sois pour moi le couteau avec lequel je fouille en moi.
L'amour, la seule obsession que tout le monde désire.
Les hommes organisent leur amour en fonction de leur vie, les femmes organisent leur vie en fonction de l'amour. L'amour ne pose aucun problème aux femmes, elles immolent tout pour lui avec enthousiasme. Alors que pour les hommes, il s'agit de l'ajuster, de le répartir, de l'empêcher de mordre trop sur les occupations, le gagne-pain, la position sociale, etc. L'amour se fraie un chemin comme il peut à travers l'âme encombrée des hommes, alors qu'il prend possession, souverainement, de l'âme des femmes, qui se vide de tout à son approche.
L'amour est un jeu, codifié depuis des générations, ce qui en fait le charme pour les uns, l'ennui pour les autres.Les Pensées, éd. du Cherche-Midi
Un amour est parfois encore plus vif depuis qu'il est devenu douloureux.Le Printemps de la vie, éd. Flammarion
On veut être aimé pour rien, malgré ses défauts et surtout malgré ses qualités.Le Bonheur et autres idées, éd. Flammarion
L'amour est la grande affaire des femmes, même de celles qui ne l'ont guère connu ou pas du tout. Elles ont un œil d'aigle pour le repérer, si soigneusement se dissimule-t-il ; elles le devinent avant qu'il soit éclos.
Les beaux cavaliers d'autrefois préféraient leur cheval à leur maîtresse. Cela se conçoit parfaitement : les hommes sont plus sensibles à la puissance qu'à l'amour.Les Pensées, éd. du Cherche-Midi