• Croyez-le, le véritable amour est éternel, infini, toujours semblable à lui- même ; il est égal et pur, sans démonstrations violentes ; il se voit en cheveux blancs, toujours jeune de cœur.
  • L'amour est la poésie des sens.
  • Si la lumière est le premier amour de la vie, l'amour n'est-il pas la lumière du cœur ?
    Eugénie Grandet (1833)
  • L'amour ne révèle ses plaisirs qu'à ceux qui confondent leurs pensées.
    La physiologie du mariage
  • L'amour n'est peut-être que la reconnaissance du plaisir.
    Le père Goriot
  • L'amour n'est pas seulement un sentiment, il est aussi un art. Quelque mot simple, une précaution, un rien, révèle à une femme le grand et sublime artiste qui peut toucher son cœur sans le flétrir.
    La recherche de l'absolu (1834)
  • L'amour est comme la mer, qui vue superficiellement ou à la hâte, est accusée de monotonie par les âmes vulgaires. Tandis que certains êtres privilégiés passent leur vie à l'admirer en y trouvant sans cesse de changeants phénomènes qui les ravissent.
    La Vendetta (1830)
  • Le véritable amour ne calcule rien.
  • Une fois que l'on aime, l'amour s'empare si bien de tout notre être, qu'il n'y a plus que lui en nous, comme lorsqu'on est sur l'Océan dans une barque, et qu'on n'aperçoit plus que le ciel et l'eau qui se confondent.
    La dernière fée
  • L'amour ne va jamais consulter les registres de l'état civil ; personne n'aime une femme parce qu'elle a tel ou tel âge, parce qu'elle est belle ou laide, bête ou spirituelle : on aime parce qu'on aime.
    L'Interdiction (1836)
  • Un jour passé près de toi, un seul jour pendant lequel je t'aurai regardé, m'aura valu toute une vie.
    La Fille aux yeux d'or (1835)
  • Tout amour durable commence par de rêveuses méditations.
    L'enfant maudit (1831)
  • L'amour a ses intuitions, comme le génie a les siennes.
    Le lys dans la vallée (1836)
  • Le premier amour est une seconde enfance jetée à travers nos jours de peine et de labeur.
    Le médecin de campagne (1833)
  • Aimer, c'est se plonger dans l'infini, n'apercevoir aucune borne au sentiment.
    Le centenaire ou les deux Beringheld (1824)
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