• Apprenons à regarder autour de nous, à apprécier les choses simples de la vie, à nous réjouir d'un regard, d'un sourire, à se préoccuper de notre prochain.
  • Tout le monde se bat pour avoir toujours plus d'argent et est-ce que le monde est meilleur ? Est-ce que les gens vont mieux ? Est-ce qu'ils sifflent dans la rue ? Non [...] il n'y a que l'amour qui remplit vraiment.
  • Si moi je ne crois pas en moi, qui le fera ? Si moi je ne suis pas à cent pour cent pour moi, qui le sera ? Faut donner l'idée aux gens qu'on est formidable sinon ils ne le savent pas.
    Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi, éd. Albin Michel
  • Le bonheur, c'est d'accepter la lutte, l'effort, le doute, et d'avancer en franchissant chaque obstacle.
  • Il faut toujours poser ses problèmes loin, parce qu'on les regarde différemment. On voit ce qu'il y a derrière. Quand on les a sous le nez, on ne voit plus rien. On ne voit plus la beauté, le bonheur qui demeurent malgré tout, tout autour.
  • Ce doit être ça, l'amour : quand le regard de l'autre voit en vous ce que vous ne voyez pas vous-même, l'extrait comme une pépite dorée et vous l'offre.
  • Je vois tout, je sens tout, mille détails entrent en moi comme de longues échardes et m'écorchent vive. Mille détails que d'autres ne remarquent pas parce qu'ils ont des peaux de crocodile.
  • La vie est un cadeau que vous avez reçu, vous en êtes responsable !
  • Et si j'étais heureuse tous les jours, je ne saurais même plus que je suis heureuse !
  • On maudit une épreuve, mais on ne sait pas, quand elle nous arrive, qu'elle va nous faire grandir et nous emmener ailleurs. On ne veut pas le savoir. La douleur est trop forte pour qu'on lui reconnaisse une vertu. C'est quand la douleur est passée, qu'on se retourne et qu'on considère, ébahi, le long chemin qu'elle nous a fait parcourir.
    Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi, éd. Albin Michel
  • Quand l'âme, le coeur et le corps s'enlacent et s'envolent, alors c'est le grand amour.