• Ne rien vouloir, c'est déjà une volonté.
    Vassa Geleznova
  • Les anges sont les serviteurs de Dieu, et les fonctionnaires sont les valets de Satan !
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Le fonctionnaire, c'est le méchant polisson qui a la garde et qui abuse de toutes les lois.
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Les lois, ce sont les coutumes. Les gens vivent en commun et ils se mettent d'accord pour reconnaître que telle ou telle manière d'agir les uns envers les autres est la meilleure, qu'elle deviendra une coutume, une règle, une loi ! Ainsi, par exemple, les enfants qui se réunissent pour jouer se concertent d'abord pour mener le jeu de telle ou telle façon ! Eh bien, la loi, c'est un accord entre grandes personnes !
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Le fonctionnaire est un homme qui vit des lois et qui les dévore !
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Tous les péchés des parents s'effacent dans leurs larmes.
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Pour un vieux, la patrie c'est là où il fait chaud.
    Les Bas-Fonds (1902)
  • Avoir du talent, c'est avoir foi en soi-même, en ses propres forces.
    Les Bas-Fonds (1902)
  • Les gens ne cessent de chercher, ils veulent toujours trouver mieux.
    Les Bas-Fonds (1902)
  • Un homme gai est toujours aimable.
    Les petits bourgeois (1902)
  • Dieu donne à chacun selon ses mérites ; aux uns il accorde de la joie, aux autres il envoie du chagrin. Et tout est si bien arrangé que les anges, comblés d'allégresse, battent des ailes et chantent perpétuellement : « Gloire à Toi, Seigneur, gloire à Toi ! » Le bon Dieu, lui, se contente de sourire, comme s'il leur disait : C'est bon, c'est bon !
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Tous les hommes sont égaux devant Dieu.
    Ma vie d'enfant (1914)
  • La tristesse et la joie vivent côte à côte chez certains êtres ; elles sont presque inséparables et se succèdent avec une rapidité incompréhensible.
    Ma vie d'enfant (1914)
  • Il y a beaucoup de règlements chez nous, mais point de justice ni de vérité.
    Ma vie d'enfant (1914)
  • La sagesse de la vie est toujours plus profonde que la sagesse des hommes.
    Les Vagabonds (1905)