• On se laisse bien aller, parfois, à aimer des gens, alors que cet amour vous prive de tout : de votre intelligence, votre humour et votre courage.
    Le Lit défait, éd. Stock
  • Qu'est-ce que l'amour, sinon une envie qui dure, un goût qui se fortifie ?
    Il fait beau jour et nuit, éd. Flammarion
  • Il n'y a pas d'amour sans peur de l'amour.
    Le Cheval évanoui, éd. Julliard
  • Deux êtres humains doivent pouvoir vivre cramponnés l'un à l'autre sans respirer. Cela s'appelle l'amour.
    Les Merveilleux Nuages, éd. Julliard
  • On ne se fatigue pas de quelqu'un, en fait, on se fatigue d'aimer. D'éprouver de l'amour. Cela s'appelle l'expérience.
    Le Cheval évanoui, éd. Julliard
  • Le cœur aimant ne consent pas à ne pas avoir été aimé.
    Ce que je crois, éd. Grasset
  • L'amour d'un seul être est une chose barbare, car il s'exerce au détriment de tous les autres. L'amour de Dieu aussi.
  • Ce qu'on fait par Amour s'accomplit toujours par-delà le bien et le mal.
    Par-delà le Bien et le Mal
  • L'amour ne veut pas la durée. Il veut l'instant et l'éternité.
  • Dans la plupart des amours, il y en a un qui joue et un autre qui est joué. Cupidon est avant tout un petit régisseur de théâtre.
    Par-delà le Bien et le Mal
  • L'amour d'un seul est une barbarie, car il s'exerce aux dépens de tous les autres. De même l'amour de Dieu.
    Par-delà le Bien et le Mal
  • Qu'est-ce que l'amour, sinon comprendre et se réjouir que quelqu'un d'autre vit, agit et sent d'une façon différente de la nôtre et opposée à celle-ci ? Pour que l'amour unisse les contraires dans la joie, il ne faut pas qu'il le supprime ou le nie.
    Humain trop humain
  • Il y a toujours un peu de folie dans l'amour, mais il y a toujours aussi un peu de raison dans la folie.
    Ainsi parlait Zarathoustra
  • Dans le véritable amour, c'est l'âme qui enveloppe le corps.
  • Que m'importent les fleurs et les arbres, et le feu et la pierre, si je suis sans amour et sans foyer ! Il faut être deux - ou, du moins, hélas ! il faut avoir été deux - pour comprendre un ciel bleu, pour nommer une aurore ! Les choses infinies comme le ciel, la forêt et la lumière ne trouvent leur nom que dans un cœur aimant. Et le souffle des plaines, dans sa douceur et dans sa palpitation, est d'abord l'écho d'un soupir attendri.
    Préface à « Je et Tu » de Martin Buber
  • «
  • 1
  • ...
  • 15
  • 16
  • 17
  • 18
  • 19
  • 20
  • 21
  • ...
  • 93
  • »

Thèmes connexes