• Un uniforme ? C'est un avant-projet de cercueil.
  • L'érotisme exige une obscénité légèrement sublimée, Une obscénité poétique.
  • Si on veut faire quelque chose de différent il faut s'attendre à ne pas rencontrer la compréhension tout de suite.
  • Le pluriel d'un maréchal, c'est des maraîchers. Le pluriel d'un général, c'est des générés.
  • Je déteste les femmes qui croient pouvoir se permettre d'être laides parce qu'elles sont intelligentes.
  • Il y a seulement deux choses : c'est l'amour, de toutes les façons, avec de jolies filles, et la musique de la Nouvelle-Orléans ou de Duke Ellington.
    Boris Vian, Claire Julliard, éd. Folio
  • Le temps perdu c'est le temps pendant lequel on est à la merci des autres.
    Boris Vian, Claire Julliard, éd. Folio
  • La foi soulève des montagnes mais les laisse joyeusement retomber sur la tête de ceux qui ne l'ont pas.
  • La douleur est une chose que l'on n'a le droit d'infliger qu'à soi-même.
  • J'aime ce qui n'a pas de sens, ça réveille les cellules du cerveau. La fantaisie est un ingrédient nécessaire dans la vie.
  • Si on ne s'aimait pas tant soi-même, on serait toujours seuls.
  • La guitare, c'est un instrument qui vous rend paresseux. On la prend, on joue un air, et puis on la laisse, on flemmarde, on la reprend pour plaquer un ou deux accords ou s'accompagner pendant qu'on siffle.
    J'irai cracher sur vos tombes
  • Mais vous savez, quand on est amoureux, on est un peu idiot.
    L'Écume des jours, éd. Gallimard
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