• Où serait le plaisir sans la mauvaise foi ? On en a dit beaucoup trop de mal. Elle aide beaucoup au triomphe des causes. Même des mauvaises. Elle égalise les chances quand un adversaire est perfide. Elle permet de triompher d'un adversaire loyal. Tant d'arguments sont à double tranchant et peuvent se retourner contre qui les emploie ! La mauvaise foi, bien au contraire, sert toujours la cause qui l'emploie. Elle va toujours dans le sens de la cause qu'elle défend.
    Profitons de l'Ornithorynque, éd. Julliard
  • On excuse volontiers la mauvaise foi ; on n'excuse pas la bonne foi.
    Le Paradoxe du critique, éd. Flammarion