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Les vacances datent de la plus haute Antiquité et se composent de pluies fines coupées d'orages plus importants.
22 citations d'Alexandre Vialatte
Alexandre Vialatte (22 avril 1901 - 3 mai 1971) est un écrivain, journaliste et traducteur français. Issu d'une famille modeste, il étudie à Clermont-Ferrand et à Nancy, où il obtient une licence de lettres. En 1922, il travaille en Allemagne en tant que traducteur civil pour les autorités militaires françaises, découvre le pays et écrit écrit ses premières chroniques pour la "Revue rhénane". Traducteur prolifique, il fait connaître Kafka, Goethe et Nietzsche en France. Journaliste, il collabore au "Nouveau Candide" et à "La Montagne", où ses chroniques, pleines d'humour et d'ironie, captivent par leur style unique. Son œuvre littéraire, notamment Les Fruits du Congo (1951), explore l'absurde et la mélancolie.
- Genre : Homme
- Nationalité : Française
- Professions : Écrivain, Journaliste
- Date de naissance : 22 avril 1901
- Date de décès : 3 mai 1971
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Avant de prendre la parole, je voudrais dire quelques mots.
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La cuisine, c'est une façon de dire je t'aime sans parler.
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La grammaire est, après le cheval, et à côté de l'art des jardins, l'un des sports les plus agréables.
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Mangez beaucoup d'ail. Il rajeunit l'organisme et écarte les opportuns.
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La ponctuation, ce n'est pas de l'orthographe, c'est de la pensée.
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Sauf erreur, je ne me trompe jamais.
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On ne peut pas toujours vivre dans une impasse et faire semblant que ce soit une rue.
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On ne saurait dire adieu trop vite à sa jeunesse. Elle s'en va sur la pointe des pieds.Dernières Nouvelles de l'homme
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On n'existe pas seul, on n'est pas seul à être soi, on est fait d'un tas d'autres. Leur perte déplace notre centre de gravité.
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L'Auvergne produit des ministres, des fromages et des volcans.
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Le monde offre un spectacle confus. On l'aperçoit à travers la presse comme à travers une vitre embuée.
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On a tout essayé pour trouver du nouveau : le roman sans histoire, le roman sans personnages, le roman ennuyeux, le roman sans talent, peut-être même le roman sans texte. La bonne volonté a fait rage. Peine perdue, on n'est parvenu à créer que le roman sans lecteur. C'est un genre connu depuis longtemps !La porte de Bath-Rabimm, éd. Julliard
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Où serait le plaisir sans la mauvaise foi ? On en a dit beaucoup trop de mal. Elle aide beaucoup au triomphe des causes. Même des mauvaises. Elle égalise les chances quand un adversaire est perfide. Elle permet de triompher d'un adversaire loyal. Tant d'arguments sont à double tranchant et peuvent se retourner contre qui les emploie ! La mauvaise foi, bien au contraire, sert toujours la cause qui l'emploie. Elle va toujours dans le sens de la cause qu'elle défend.Profitons de l'Ornithorynque, éd. Julliard
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Le marchand de sable ne fait pas fortune dans le désert.
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