• Le dernier voyage du flâneur : la Mort. Son but : le Nouveau.
    Paris, capitale du XIXe siècle, éd. Allia
  • La pire chose de notre monde moderne est que les gens pensent, à cause de la télévision, qu'on meurt sans douleur et sans effusion de sang. On fait croire aux enfants que ce n'est pas si grave de tuer quelqu'un.
    The New-York Times Magazine, 1990
  • Mourir : occasion posthume de faire parler de soi.
  • La mort n'est qu'un banal incident qui ne dure qu'un instant. Une affaire où l'on a plus de peur que de mal.
  • Se transformer en cendres, nourrir les plantes, permettre au cycle de la vie de suivre son cours. C'est la seule forme d'éternité à laquelle je puisse aspirer.
    Une saison blanche et sèche
  • Il n'existe pas de mot dans la langue française pour désigner celui qui a perdu son enfant, alors qu'il y en a un - « orphelin » - pour celui qui a perdu son père ou sa mère, comme s'il s'agissait d'une situation hors de l'entendement, hors du langage, un statut impossible à définir, à qualifier : un vide moral et juridique.
    La décision, éd. Gallimard
  • Nous aimons croire que les parois sont hermétiques, que la vie et la mort sont bien séparées et que les vivants et les morts n'ont pas à se croiser.
    Vivre Avec Nos Morts, éd. Grasset
  • Tout homme pressé court à sa tombe.
    Les pensées d'un homme, éd. Italique
  • Mourir, c'est changer de corps comme l'acteur change d'habit.
  • Le courage consiste à ne pas craindre la mort. Or, comme la mort est la séparation de l'âme d'avec le corps, cette séparation ne saurait effrayer celui qui aime à être seul.
  • Les morts sont les seules créatures qui soient totalement libérés.
    La Fosse aux chiens, éd. du Seuil
  • La mort est déjà dans ce qu'on perd à désespérer.
  • Il n'y a que le premier trépas qui coûte.
  • La vie est une maladie de la mort.
  • Bien vivre et bien mourir, c'est la science des sciences.
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