Suivez-nous :
Trois choses sont nécessaires pour être heureux : être stupide, être égoïste et avoir une bonne santé ; mais si vous ratez la première, tout est perdu.
Trois choses sont nécessaires pour être heureux : être stupide, être égoïste et avoir une bonne santé ; mais si vous ratez la première, tout est perdu.
Axiome : le superflu est le premier des besoins.Dictionnaire des idées reçues
Les larmes sont pour le coeur ce que l'eau est pour les poissons.
Il faut être assez fort pour se griser avec un verre d'eau et résister à une bouteille de rhum.
Tout n'est peut-être qu'une immense blague, j'en ai peur, et quand nous serons de l'autre côté de la page, nous serons peut-être fort étonnés d'apprendre que le mot du rébus était si simple.Lettre à Louise Colet, 3 Novembre 1851
Qu'est-ce donc que le mauvais goût ? C'est invariablement le goût de l'époque qui nous a précédés. Tous les enfants ne trouvent-ils pas leur père ridicule ?
C'est une belle chose qu'un souvenir, c'est presque un désir, qu'on regrette.
Le bonheur n'est pas de chercher le bonheur, mais d'éviter l'ennui. C'est faisable avec de l'entêtement.Lettre à Louise Colet
Le cœur de l'homme est encore plus variable que les saisons, tour à tour plus froid que l'hiver et plus brûlant que l'été.Lettre à Louise Colet (1847)
Rien ne fait mieux passer la vie que la préoccupation incessante d'une idée, qu'un idéal.
Ce qui me navre, c'est que j'ai la conviction que nous allons entrer dans une ère stupide. On sera utilitaire, militaire, américain et catholique, très catholique ! vous verrez !Lettre à Georges Sand, octobre 1870
Orchestre : image de la société. Chacun fait sa partie et il y a un chef.
La vie doit être une éducation incessante ; il faut tout apprendre, depuis parler jusqu'à mourir.Correspondance
Matinal. L'être, preuve de moralité. Si l'on se couche à 4 heures du matin et qu'on se lève à 8, on est paresseux, mais si l'on se met au lit à 9 heures du soir pour en sortir le lendemain à 5, on est actif.Dictionnaire des idées reçues
La poésie est une plante libre ; elle croit là où on ne la sème pas. Le poète n'est pas autre chose que le botaniste patient qui gravit les montagnes pour aller la cueillir.