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Quels philosophes sommes-nous, nous qui ne savons absolument rien de l'origine et du destin des chats ?
Quels philosophes sommes-nous, nous qui ne savons absolument rien de l'origine et du destin des chats ?
J'ai beaucoup étudié les philosophes et les chats. La sagesse des chats est infiniment supérieure.
J'aime les chats, parce que j'aime ma maison, et qu'ils en deviennent, peu à peu, l'âme visible. Une sorte de silence actif qui émane de ces quelques fourrures qui paraissent sourdes aux ordres, aux appels, aux reproches.
Si je préfère les chats aux chiens, c'est qu'il n'y a pas de chats policiers.
Les chats ne savent pas pardonner.
Aucune faveur ne peut gagner la gratitude d'un chat.
L'idéal du calme est dans un chat assis.Journal
Le chat est le chef-d'œuvre de la nature.
Quand un homme aime les chats, je suis son ami et son camarade, sans autre formalité.
Je ne peux tout simplement pas résister à un chat, surtout s'il ronronne.
Si les animaux pouvaient parler, le chien serait un gaffeur au franc-parler, mais le chat aurait la rare élégance de ne jamais dire un mot de trop.
Le chat semble mettre un point d'honneur à ne servir à rien, ce qui ne l'empêche pas de revendiquer au foyer une place meilleure que celle du chien. Il est un ornement, un luxe.Le miroir des idées, Ed. Folio
Quand je joue avec mon chat, qui sait s'il ne s'amuse pas plus avec moi que moi avec lui.
Le chat ne nous caresse pas, il se caresse à nous.
Le chat n'est pas tenu de vivre d'après les lois du lion.