Quand on a mis sa main dans la main des pauvres, on trouve la main de Dieu dans son autre main.
188 citations sur le thème « Dieu »
-
La seule règle qui soit originale aujourd'hui : apprendre à vivre et à mourir, et pour être homme, refuser d'être Dieu.
-
Dieu nie le monde, et moi je nie Dieu ! Vive rien puisque c'est la seule chose qui existe !
-
Si Dieu existe, tout dépend de lui et nous ne pouvons rien contre sa volonté. S'il n'existe pas, tout dépend de nous.Le Mythe de Sisyphe, éd. Gallimard
-
Il ne faut pas être plus pressé que Dieu et tout ce qui prétend accélérer l'ordre immuable qu'il a établi une fois pour toutes conduit à l'hérésie.
-
Définissez-moi d'abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j'y crois.
-
Ce qui m'intéresse vraiment, c'est de savoir si Dieu avait le choix dans la création du monde.
-
Le mot Dieu n'est pour moi rien d'autre que l'expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives.Lettre à Éric Gutkind, 3 janvier 1954
-
Nous ne nous appartenons pas plus à nous-mêmes que ne nous appartient ce que nous possédons. Nous sommes la propriété de Dieu.
-
-
Combien avaient raison les Anciens qui n'avaient qu'un même dieu pour les marchands et les voleurs.
-
Le monde est mal fait parce que Dieu l'a créé tout seul. Il aurait consulté deux ou trois amis... Le monde serait parfait.Notes et pensées (1857-1922)
-
Ou bien Dieu veut éliminer le mal et ne le peut ; ou il le peut et ne le veut ; ou il ne le veut ni ne le peut ; ou il le veut et le peut. S'il le veut et ne le peut, il est impuissant, ce qui ne convient pas à Dieu ; s'il le peut et ne le veut, il est méchant, ce qui est étranger à Dieu. S'il ne le peut ni le veut, il est à la fois impuissant et méchant, il n'est donc pas Dieu. S'il le veut et le peut, ce qui convient seul à Dieu, d'où vient donc le mal, ou pourquoi Dieu ne le supprime-t-il pas ?L'esprit de l'athéisme, Introduction à une spiritualité sans Dieu, éd. Albin Michel
-
Se passer de Dieu... Je veux dire : se passer de l'idée de Dieu, de la croyance en une Providence attentive, tutélaire et rémunératrice... n'y parvient pas qui veut.