• L'homme n'a jamais été programmé pour faire le bien, et l'existence même du mal est "normale". Dès lors que le bien est défini comme la manifestation du souci de l'autre, le mal s'invite de lui-même.
    L'éthique est une boussole, éd. de l'Aube
  • Celui qui ne hait pas l'infamie ne fait pas seulement preuve de lâcheté, mais s'attire aussi le soupçon d'être de mèche avec elle.
  • S'il nous faut accepter tout ce qui est comme il est, dans toute sa dimension tragique de non-sens radical, comment éviter l'accusation de complicité, voire de collaboration avec le mal ?
    Apprendre à vivre, éd. Plon
  • Tout passe comme un éclair : le bien et le mal durent si peu qu'ils ne méritent pas qu'on s'en réjouisse ni qu'on s'en fâche.
  • Nulle éthique traditionnelle ne nous instruit sur les normes du "bien" et du "mal" auxquelles doivent être soumises les modalités entièrement nouvelles du pouvoir et de ses créations possibles.
    Le Principe Responsabilité, éd. Flammarion
  • Le mal est une nécessité favorable à l'équilibre du bien.
    Les Errantes, éd. Québec Amérique
  • Au terme de mon parcours, je me rends compte combien l'Homme est fragile et malléable. Rien n'est jamais acquis. Notre devoir de vigilance doit être absolu. Le mal peut revenir à tout moment, il couve partout et nous devons agir au moment où il est encore temps d'empêcher le pire.
  • Quand on fait le mal, on oublie qu'il sera multiplié par le mal que font les autres. Notre moindre péché, la médisance et la calomnie s'en emparent et en font une terrible arme contre nous. Juste punition !
    Rêveuse bourgeoisie, éd. Gallimard
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