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Dès que l'homme a commencé à se considérer comme la mesure de toute chose, le monde a commencé à perdre sa dimension humaine, et l'homme a commencé à en perdre le contrôle.
Dès que l'homme a commencé à se considérer comme la mesure de toute chose, le monde a commencé à perdre sa dimension humaine, et l'homme a commencé à en perdre le contrôle.Disturbing the Peace, conversation avec Karel Hvizdala (1986)
Tant de mains pour transformer ce monde, et si peu de regards pour le contempler.En lisant en écrivant
La planète est une affaire trop sérieuse pour la confier aux hommes ordinaires dans leur brouillard d'ignorance.Blumroch l'admirable, éd. Gallimard
Supprimez les tanks en plastique et les panoplies de parachutiste, le monde futur sera gentil comme une poupée.La liberté guide mes pas, éd. Albin Michel
L'imbécile veut changer le monde. L'intelligent se contente de le gérer.Président Faust, éd. Albin Michel
Ne doutez jamais qu'un petit groupe d'hommes conscients et engagés puisse changer le monde. C'est même de cette manière que cela s'est toujours produit.
Le monde est le lieu où s'affrontent les histoires.Les Producteurs, éd. Gallimard
Comme il est merveilleux que personne n'ait besoin d'attendre un seul instant avant de commencer à améliorer le monde.Journal
En ce monde il faut oublier ou pardonner.Les remarques et pensées
Le monde est un vaisseau dans un voyage sans retour.Moby Dick
La seule révolution possible, c'est d'essayer de s'améliorer soi-même en espérant que les autres fassent la même démarche. Le monde ira mieux alors.
Tel est le monde. Nous ne le verrons pas très longtemps : juste assez pour en garder ce qui scintille et va s'éteindre.
Encore qu'aujourd'hui, la folie du monde soit si patente qu'il devient de plus en plus malaisé de lui opposer autre chose qu'une autre folie.La Semaison, éd. Gallimard
Je rêvais d'un autre monde. Mais je le voulais de chair et de temps, comme le nôtre, et tel qu'on puisse y vivre, y changer d'âge, y mourir.L'Arrière-pays (1972)
Le monde [...] est comme un livre ; de ses feuillets innombrables, nous ne voyons que celui auquel il est ouvert.Héliopolis, éd. Christian Bourgois