• Car enfin ce lit, ce mot de trois lettres, on y naît, on y meurt, on y sème, on y accouche et dans certains couples, on s'y traîne ou l'on s'y jette, on en tombe, ou on s'en échappe, on y rit ou on y pleure, on y souffre ou on y jouit.
  • Le sérieux, ce symptôme évident d'une mauvaise digestion.
  • Celui qui lutte contre les monstres doit veiller à ne pas le devenir lui-même. Or quand ton regard pénètre longtemps au fond d'un abîme, l'abîme lui aussi pénètre en toi.
  • Nous sommes tombés si bas que la reformulation de l'évidence est la première obligation d'un homme intelligent.
  • La beauté n'a pas de sens jusqu'à ce qu'elle soit partagée.
    Journées birmanes
  • Définir une chose c'est substituer la définition à la chose.
    Le Jour et la Nuit, cahiers Georges Braque 1917-1952, éd. Gallimard
  • Le réformateur pense toujours juste au sujet de ce qui est erroné. Il pense généralement mal au sujet de ce qui est vrai.
    The Illustrated London News
  • Les anges volent parce qu'ils se prennent eux-mêmes à la légère.
  • Jouis de ce que tu peux, supporte ce que tu dois.
  • Il y a ce qu'on peut faire dans un lit et le reste. Le reste ne vaut pas cher.
  • Ce qui me navre, c'est que j'ai la conviction que nous allons entrer dans une ère stupide. On sera utilitaire, militaire, américain et catholique, très catholique ! vous verrez !
    Lettre à Georges Sand, octobre 1870
  • Ce que nous avons apprécié une fois, nous ne pouvons jamais le perdre. Tout ce que nous aimons profondément devient une partie de nous.
  • L'unique chose qui puisse être pire que d'être aveugle est d'avoir la vue, mais pas de vision.
  • Le mécontentement à l'état chronique empoisonne tout.
    Journal intime
  • La compagnie des sots est une compagnie peu amusante.
    Fragments d'un journal intime
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