• Une séparation prolongée détruit n’importe quel amour.
    La petite fille aux yeux sombres (1921)
  • À mesure que disparaissent ceux que nous avons aimés diminuent les raisons de conquérir un bonheur que nous ne pouvons plus goûter ensemble.
  • Il est souvent plus difficile de se débarrasser d'une maitresse que de la séduire.
    Lettres au marquis de Sévigné (1750)
  • Quand une liaison de cœur devient un véritable supplice il faut s'en délivrer le plus tôt possible.
    Lettre au marquis de Sévigné (1750)
  • Les hommes ne manquent jamais qu'aux femmes qui le veulent bien.
    Lettre au marquis de Sévigné (1750)
  • Quittez qui vous quitte.
    Tite et Bérénice (1670)
  • A mon âge, il y a des ruptures auxquelles on risque de ne pas survivre.
    Les racines du ciel, éd. Gallimard
  • Lorsque nos souffles se séparent et qu'il faut recommencer à vivre coupés en deux, il reste la connaissance heureuse du sanctuaire et une œuvre immatérielle faite de certitude de retour.
  • [...] se séparer, ce n'est pas quitter quelqu'un, c'est se quitter tous les deux.
    Quadrille
  • Qu'il est cruel d'aimer alors qu'on est séparé de l'être qu'on aime. Bien peu de cœurs ont connu cette douleur dans toute son étendue, parce que bien peu de cœurs ont connu l'amour dans toute sa profondeur.
    Han d'Islande (1823)
  • Quelle que soit notre vérité, la tristesse d'avoir perdu quelqu'un qu'on aime est inconsolable. La vérité, la sincérité, la force, la douceur, rien ne peut calmer la douleur, et, en allant au bout de cette souffrance, on apprend quelque chose qui ne nous est d'aucune utilité pour la prochaine vague de tristesse qui nous surprendra.
    La Ballade de l'impossible, éd. Seuil/Points
  • On se presse d'aimer, puis on se déteste à loisir.
    Don Juan (1819-1824)
  • Une femme qui vous a quitté laisse dans l'âme une traînée éblouissante.
    L'Âme sensible, éd. Gallimard
  • La trahison ne signifie nullement qu'on n'est plus aimé. Peut-être est-elle le dernier stade de l'amour : elle en clôt le cycle.
  • Dire à quelqu'un que c'est terminé, c'est laid et faux. Ce n'est jamais terminé. Même quand on ne pense plus à quelqu'un, comment douter de sa présence en soi ? Un être qui a compté compte toujours.
    Ni d'Eve ni d'Adam, éd. Albin Michel