Pablo Neruda, nom de plume de Ricardo Eliécer Neftalí Reyes Basoalto ( - ) est un poète chilien. A vingt ans, il publie ses premiers poèmes sous le pseudonyme de Pablo Neruda. Son recueil "Vingt poèmes d'amour et une chanson désespérée" (1924). Diplomate, il occupe des postes consulaires en Asie et en Europe. Son engagement politique le conduit à rejoindre le Parti communiste chilien en 1945. Exilé pendant la dictature de González Videla, il parcourt le monde.
Son œuvre poétique, vaste et variée, aborde l'amour, la nature, l'engagement politique et social. "Chant général" (1950), épopée de l'Amérique latine, est considéré comme son chef-d'œuvre. Neruda reçoit le prix Nobel de littérature en 1971.
  • La poésie est toujours un acte de paix.
  • Je t'aime comme l'on aime certaines choses obscures, de façon secrète, entre l'ombre et l'âme.
  • Je me fie à ma vérité faute d'un mensonge à offrir.
  • Un jour, quelque part, tu te rencontreras toi-même ; ce moment-là, pourra être la plus heureuse comme la plus amère de toutes les heures de ta vie.
  • Chacun de nous porte en lui un conte de fée, qu'il ne sait lire tout seul. Il a besoin de quelqu'un qui, avec merveille et enchantement dans les yeux, le lui lise et le lui raconte.
  • La vérité, c'est qu'il n'y a pas de vérité.
  • Un poète qui n'est pas réaliste est un poète mort. Mais un poète qui n'est que réaliste est aussi un poète mort. Le poète qui est seulement irrationnel ne sera compris que par lui-même et par la femme qu'il aime, et cela est assez triste. Le poète qui est seulement un rationaliste sera même compris par les ânes, et cela est aussi extrêmement triste.
    J'avoue que j'ai vécu
  • Il meurt lentement, celui qui ne voyage pas, celui qui ne lit pas, celui qui n'écoute pas de musique, celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
  • La parole est une aile du silence.
  • Si rien ne peut nous sauver de la mort, qu'au moins l'amour nous sauve la vie.
  • Vis maintenant ! Risque-toi aujourd'hui ! Agis tout de suite ! Ne te laisse pas mourir lentement ! Ne te prive pas d'être heureux !
  • La terre s'est imposée l'homme pour châtiment.
  • Je t'enverrai un baiser avec le vent et je sais que tu l'entendras, tu te retourneras et, sans me voir, je serai là.
  • Pourtant, il existe des gens qui croient au changement, des gens qui ont pratiqué le changement, qui l'ont fait triompher, qui l'ont fait fleurir ; le printemps est inexorable.
    J'avoue que j'ai vécu
  • Mon âme naît sur les bords de tes yeux. Dans tes yeux commence le pays du songe.