• Les femmes ont besoin des hommes afin qu'ils les consolent de quelque chose d'inéluctable.
    Pascal Quignard
    Les Solidarités mystérieuses, éd. Gallimard
    2
  • Les femmes, c'est comme la soupe, il ne faut pas les laisser refroidir.
    Jean Anouilh
    Ornifle ou le Courant d'air, éd. Folio
    3
  • Les bonnes femmes, plus ça se lamente, plus c'est en train de penser à soi.
    Jean Anouilh
    Cher Antoine ou l'amour raté (1969)
    2
  • Les femmes ont toujours pitié des blessures qu'elles n'ont pas faites elles-mêmes.
    Jean Anouilh
    Pauvre Bitos ou Le dîner de têtes, éd. La Table Ronde
    1
  • Les femmes sont à qui les prend et les garde !
    Jean Anouilh
    La valse de Toréadors, éd. La Table Ronde
    1
  • Les femmes sont à qui les prend et les garde !
    Jean Anouilh
    La valse de Toréadors, éd. La Table Ronde
    1
  • Les femmes raffolent des imposteurs parce qu'ils savent embellir la réalité.
    Charles Bukowski
    10
  • Dieu est un sublime créateur, il a créé la femme, plus belle que les fleurs.
    Publilius Syrus
    Sentences
    0
  • Le jour où la femme aura tous les droits, elle perdra tous ses privilèges.
    Georges Wolinski
    Les Pensées (1981)
    1
  • Une femme en harmonie avec son esprit est comme une rivière qui coule. Elle va où elle veut sans prétention et arrive à sa destination prête à être elle-même et seulement elle-même.
    Maya Angelou
    21
  • J'ai trois grands amours : la vie, les femmes et le cinéma.
    Claude Lelouch
    Le dictionnaire de ma vie, éd. Kero
    1
  • Les femmes sont des caméléons, des miroirs pour l'homme qu'elles aiment.
    Jean Dutourd
    Les Horreurs de l'amour, éd. Gallimard
    0
  • Les femmes n'interviennent jamais dans mes romans tout simplement parce qu'elles parleraient tout le temps et que les autres n'auraient plus rien à dire.
    Jules Verne
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  • Le plus souvent dans l'histoire, "anonyme" était une femme.
    Virginia Woolf
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  • Les femmes ont pendant des siècles servi aux hommes de miroirs, elles possédaient le pouvoir magique et délicieux de réfléchir une image de l'homme deux fois plus grande que nature.
    Virginia Woolf
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