• Une mère aimante pardonne toujours à son enfant.
    Confessions, Ed. Albin Michel
  • Tout ce que je suis, tout ce que j'aspire à devenir, je le dois à ma mère, mon ange.
  • Les mamans, ça pardonne toujours ; c'est venu au monde pour ça.
    Louise Bernard (1843)
  • Ah ! l'amour maternel est une si grande vertu qu'il fait excuser bien des choses !
    Le comte de Monte-Cristo (1846)
  • Si jeune que l'on soit, le jour où l'on perd sa mère, on devient vieux tout à coup.
    Le demi-monde (1855)
  • Je veux devoir tout mon bonheur à la tendresse maternelle.
    À ma mère (1841)
  • Toutes les mères sont impossibles – qu'elles aiment trop ou qu'elles n'aiment pas assez. Il n'y a pas en la matière de juste mesure.
    La plus que vive, éd Gallimard
  • [...] les meilleures mères sont ce que le monde appelle de mauvaises mères, celles qui ne pensent pas qu'à leurs enfants, ou si l'on veut encore, les meilleures mères sont celles qui n'oublient pas d'être aussi, avec autant d'intensité, femmes, amantes, enfants, je ne sais comment faire entendre une chose aussi simple, je ne sais comment expliquer l'évidence...
    La plus que vive, éd. Gallimard
  • Les mères se laissent quitter par leurs enfants et l'absence vient, qui les dévore. On dirait une loi, une fatalité… L'ingratitude est le signe d'une éducation menée à son terme, achevée, parfaite en sa démence.
    La Part manquante, éd. Gallimard
  • Le visage d'une mère est pour l'enfant son premier livre d'images.
  • On aime sa mère presque sans le savoir, sans le sentir, car cela est naturel comme de vivre.
    Fort comme la mort (1889)
  • [...] le cœur d'une mère est un abîme au fond duquel on trouve toujours un pardon.
    La femme de trente ans
  • Entre toutes les femmes, il n'y a de vrai que notre mère.
  • Avec l'amour maternel, la vie nous a fait à l'aube une promesse qu'elle ne tient jamais.
    La Promesse de l'aube, éd. Gallimard
  • Celui qui est aimé par sa mère, sera un conquistador.
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