• Chacun rêve d'une part de mystère dans son existence, mais rares sont ceux qui font ce qu'il faut pour la mériter.
    Légendes d'automne, éd. Robert Laffont
  • Le truc le plus dur pour les gens, c'est la vie non vécue.
  • Les seuls gens qui existent sont ceux qui ont la démence de vivre, de discourir, d'être sauvés, qui veulent jouir de tout dans un seul instant, ceux qui ne savent pas bâiller.
    Sur la route (1957)
  • Chaque personne doit vivre sa vie comme un modèle pour les autres.
  • Être vivant, c'est être prêt.
    Connaissance par les gouffres
  • Tous les humains meurent, peu ont vécu.
    Ce que je crois, éd. Grasset
  • Je commence à découvrir le bonheur. Il ne ressemble pas du tout à l'existence.
    Saint quelqu'un, éd. Livre de Poche
  • Le seul moyen de changer sa vie, ce n'est pas d'appeler l'événement extraordinaire qui modifierait l'existence, c'est que notre existence ordinaire par la conscience intériorisée, cesse d'être vécue ordinairement.
    Les dernières chaînes, éd. Pocket
  • Exister, c'est se dresser, se détacher de l'arrière-plan. Vous ne pensez pas, vous n'existez pas vraiment si vous n'êtes pas prêts à risquer jusqu'à votre équilibre dans le jugement de votre existence.
  • Sur les milliards de créatures vivantes qui peuplent la terre, seul l'homme réfléchit à son existence. Ses questions aboutissent à le torturer ; car il est incapable d'accepter, contrairement aux insectes, que l'unique but de la vie est la vie même.
    La Ruche d'Hellstrom, éd. J'ai Lu
  • L'existence ne présente pas un grand intérêt lorsqu'on a pour but que soi même.
  • L'existence ne présente pas grand intérêt lorsqu'on a pour but que soi-même.
    Lambeaux
  • Il faut parfois toute une existence pour parcourir le chemin qui mène de la peur et l'angoisse au consentement à soi-même. À l'adhésion à la vie.
    Dans la lumière des saisons, éd. P.O.L
  • On peut continuer à exister sans son âme, tant que le cœur et le cerveau fonctionnent. Mais on n'a plus aucune conscience de soi, plus de mémoire, plus... rien. Et plus aucune chance de guérison. On existe, c'est tout. Comme une coquille vide.
    Le Prisonnier d'Azkaban, éd. Folio
  • Je ne pouvais m'en apercevoir tout seul que j'existais ? Il semble que non. Il semble que ce doit être quelqu'un d'autre qui le signale.
    Montedidio, éd. Gallimard