• La maladie la plus constante et la plus mortelle, mais aussi la plus méconnue de toute société, est l'indifférence.
  • Vivre, c'est apprendre à aimer.
    Testament…, éd. Bayard/Centurion
  • Le XXIe siècle sera fraternel ou ne sera pas. À chacun de nous, quelles que soient la foi ou la pensée qui l’animent, de faire que cette certitude vienne à vivre.
  • La vraie charité consiste à agir contre l'injustice.
    Confessions, Ed. Albin Michel
  • Quand tu n'en peux plus d'aimer, espère. Quand tu n'en peux plus d'espérer, crois.
  • Il ne faut pas attendre d'être parfait pour commencer quelque chose de bien.
  • Les regrets sont vains lorsqu'il est trop tard. La digue est rompue, les flots passent, ils brassent des boues. Ce qui compte, c'est demain.
  • Nul n'est plus misérable que celui qui sait et ne dit pas, si ce n'est celui qui dit et ne fait pas.
  • Tous responsables, tous nécessaires ! Nous sommes tous ensembles responsables, responsables de nous-mêmes et responsables les uns des autres, et c'est cela la grandeur d'être homme.
    Faim et soif, juin 1962
  • L'homme ne vit pas seulement de pain, il est vrai, mais il vit de pain d'abord. L'esprit ne peut être libre, s'il n'est dégagé de l'angoisse de la faim.
  • Nous sommes tous embarqués sur un même bateau avec nos diversités. Que chacun reste soi en apportant la richesse de son originalité.
  • L'on ne possède pas un bien parce qu'on est capable d'en jouir, mais si l'on est capable de le donner. Qui sait en jouir et ne sait le donner en est non le possesseur mais le possédé.
  • L'homme n'est véritablement lui-même qu'à partir du moment où il a cherché à savoir ce qu'était l'essentiel dans cette existence qu'il n'a pas voulue et où, soudain, il s'est un jour découvert.
    Le Dernier quart d'heure, 16 avril 1954
  • Il n'y a pas de meilleur moyen d'aimer son prochain que de lui donner l'occasion de faire une bonne action.
  • La beauté d'une ville, elle n'est pas dans ses musées, ses théâtres ou ses jardins publics, ni même dans ses cathédrales, elle est, devant Dieu comme devant les hommes, de ne pas avoir de sans-logis, de ne pas avoir de taudis.
    La voix des hommes sans voix