Meryl Streep, de son vrai nom Mary Louise Streep, née le 22 juin 1949, est une actrice américaine. Récompensée par 3 Oscars, dont 2 pour le titre de « Meilleure actrice », 9 Golden Globes, 2 BAFTA et un prix d'interprétation à Cannes, elle est considérée comme l'une des comédiennes les plus douée de sa génération. Crédit photo : Dick Thomas Johnson
  • La minute où vous commencez à vous soucier de ce que pensent les autres, c'est la minute où vous cessez d'être vous-même.
  • Je me consacre à moi-même, pour le reste de ma vie, sans hâte, sans excuses. Je ne sais combien de temps il me reste, mais je veux le dépenser en restant fidèle à ce que je suis, sans laisser quiconque troubler ma paix intérieure. Je m'accorde désormais le droit d'ouvrir une bouteille de vin sans raison particulière, de m'offrir des fleurs sans attendre qu'on me les offre, de marcher sans jamais me retourner. Le bonheur m'a trouvée le jour où j'ai cessé de le chercher chez les autres et que je l'ai découvert en moi. La vie ne se rejoue pas. Et moi, j'ai décidé de la vivre pleinement.
  • Juste avec le temps, tu apprends à être plus ce que tu veux et moins ce que les autres veulent de toi...
  • Avec le temps, j'ai arrêté de dialoguer avec ceux qui ne m'écoutaient pas et avec ceux qui voulaient toujours avoir raison. J'ai aussi arrêté de chercher les gens qui ne me cherchaient jamais, de penser à ceux qui ne pensaient jamais à moi. J'ai commencé à faire ce qui me fait du bien, sans excès mais avec passion. J'ai commencé à faire confiance à mon intuition pour tout, pour chaque choix, pour chaque personne. J'ai commencé à éviter les gens négatifs et j'ai commencé à fréquenter les rares personnes positives. Parce que j'ai appris à me respecter et j'ai commencé à me mettre en premier. Parce que je pense que je le mérite.
  • Je suis tellement intimidé par [la réputation] que je n'y pense jamais. C'est une chose plus grande que ce que je suis capable de percevoir. D'autres personnes en sont plus conscientes et plus préoccupées que je ne pourrais jamais me permettre.
    Calgary Sun, 8 décembre 1996