André Gide ( - ) est un écrivain français, prix Nobel de Littérature en 1947. Volonté de liberté et d'affranchissement à l'égard des contraintes morales et puritaines, - André Gide assumait pleinement son homosexualité - son œuvre s'articule autour de la recherche permanente de l'honnêteté intellectuelle.
  • On appelle bonheur un concours de circonstances qui permette la joie. Mais on appelle joie cet état de l'être qui n'a besoin de rien pour se sentir heureux.
  • Je crois à la vertu du petit nombre, le monde sera sauvé par quelques-uns.
  • Les fautes des autres, c'est toujours réjouissant.
  • Il n'y a pas de plus grande joie que de réjouir un autre être.
    Les faux monnayeurs
  • Dans la vie, rien ne se résout ; tout continue. On demeure dans l'incertitude ; et on restera jusqu'à la fin sans savoir à quoi s'en tenir ; en attendant, la vie continue, tout comme si de rien n'était.
    Les Faux Monnayeurs
  • Chaque désir m'a plus enrichi que la possession toujours fausse de l'objet même de mon désir.
    Les Nourritures terrestres (1897)
  • Si ce que tu manges ne te grise pas, c'est que tu n'avais pas assez faim.
  • Le péché, c'est ce qui obscurcit l'âme, c'est ce qui s'oppose à la joie.
    La Symphonie pastorale
  • Celui qui est fidèle dans les petites choses le sera aussi dans les grandes.
    La Symphonie pastorale
  • Se passer de Dieu... Je veux dire : se passer de l'idée de Dieu, de la croyance en une Providence attentive, tutélaire et rémunératrice... n'y parvient pas qui veut.
  • Il est bien des choses qui ne paraissent impossibles que tant qu'on ne les a pas tentées.
  • Que l'importance soit dans ton regard, non dans la chose regardée.
    Les nourritures terrestres, éd. Mercure de France
  • Tout théorie n'est bonne qu'à condition de s'en servir pour passer outre.
  • La tentation la plus dangereuse : ne ressembler à rien.
  • Le plus précieux de nous-même est ce qui reste informulé.
    Les nourritures terrestres
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