Louis de Funès (31 juillet 1914 - 27 janvier 1983) est un acteur français. Considéré comme l'un des plus grands acteurs comiques français, il a joué dans près de 150 films. Les plus connus sont La Traversée de Paris (1956), Le Gendarme de Saint-Tropez (1964) et ses cinq suites, Le Corniaud (1965), Le Grand Restaurant et La Grande Vadrouille (1966), Le Petit Baigneur (1968), Hibernatus (1969), La Folie des grandeurs (1971), Les Aventures de Rabbi Jacob (1973), L'Aile ou la Cuisse (1976) et La Soupe aux choux (1981).
  • Genre : Homme
  • Nationalité : Française
  • Profession : Comédien
  • Date de naissance : 31 juillet 1914
  • Date de décès : 27 janvier 1983
  • J'ai abandonné la pêche le jour où je me suis aperçu qu'en les attrapant, les poissons ne frétillaient pas de joie.
    Le Journal du dimanche, 29 Novembre 1981
  • Peu importe que vous ayez du style, une réputation ou de l'argent. Si vous n'avez pas bon coeur, vous ne valez rien.
  • Je cultive mon jardin. Et dans ma vie professionnelle comme dans mon carré de jardin, j'ai bien l'intention d'exclure les navets !
  • C'est une médecine pour moi le rire, une médecine qui fait beaucoup de bien aux gens. On dit "mourir de rire", mais je n'ai jamais vu personne mourir de rire.
    Le disque des vedettes, entretien avec Georges Lourier, janvier 1963
  • [...] Il y a un rire universel, par exemple Charlot l'a prouvé dans ses films, il a fait rire tout le monde, le monde entier. [...] J'essaye de panacher, de provoquer tous ces rires-là [...].
    Le disque des vedettes, entretien avec Georges Lourier, janvier 1963
  • Le rire vient toujours d'une rupture.
    Le disque des vedettes, entretien avec Georges Lourier, janvier 1963
  • La chance dans la vie c'est la chance d’être en bonne santé.
    Le disque des vedettes, entretien avec Georges Lourier, janvier 1963
  • Mon grand professeur de bonheur, c'est mon jardin. Tout ce qui pousse dans mon jardin, c'est l'école de la vie. Cà apprend la patience, ça apprend la beauté...
    Le disque des vedettes, entretien avec Georges Lourier, janvier 1963