Pierre Bonnard (3 octobre 1867 - 23 janvier 1947) est un peintre, décorateur, illustrateur, lithographe, graveur et sculpteur français.
  • Le travail est absolument nécessaire pour garder son cerveau à peu près intact. Je m'intéresse beaucoup au dessin pour lequel je crois qu'il y a des lois d'harmonie comme pour la couleur.
  • Je travaille beaucoup, de plus en plus enfoncé dans cette passion périmée de la peinture. Peut-être en suis-je avec quelques-uns l'un des derniers survivants. L'essentiel est que je ne m'ennuie pas.
  • Par la séduction ou idée première, le peintre atteint l'universel. C'est la séduction qui détermine le choix du motif et qui correspond exactement à la peinture. Si séduction ou idée première s'efface, il ne reste plus que le motif, l'objet, qui envahit, domine le peintre. A partir de ce moment-là il ne fait plus sa propre peinture.
  • Surveiller le moment où la couleur se transforme en valeur.
  • Il ne s'agit pas de peindre la vie, il s'agit de rendre vivante la peinture.
  • Puisque tous les peintres entreprennent les mêmes choses, se heurtent aux mêmes difficultés, utilisent les mêmes moyens, c'est que les différences proviennent de l'intérieur.
  • Avant d'être l'expression d'un génie unique, la peinture se doit d'être l'exercice obstiné, intense, d'un métier.
  • La fausseté, c'est découper un morceau de la nature et le copier.
  • Tout à son moment de beauté.
  • La couleur a une logique aussi logique que la forme.