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Le travail est absolument nécessaire pour garder son cerveau à peu près intact. Je m'intéresse beaucoup au dessin pour lequel je crois qu'il y a des lois d'harmonie comme pour la couleur.
Le travail est absolument nécessaire pour garder son cerveau à peu près intact. Je m'intéresse beaucoup au dessin pour lequel je crois qu'il y a des lois d'harmonie comme pour la couleur.
Je travaille beaucoup, de plus en plus enfoncé dans cette passion périmée de la peinture. Peut-être en suis-je avec quelques-uns l'un des derniers survivants. L'essentiel est que je ne m'ennuie pas.
Par la séduction ou idée première, le peintre atteint l'universel. C'est la séduction qui détermine le choix du motif et qui correspond exactement à la peinture. Si séduction ou idée première s'efface, il ne reste plus que le motif, l'objet, qui envahit, domine le peintre. A partir de ce moment-là il ne fait plus sa propre peinture.
Surveiller le moment où la couleur se transforme en valeur.
Il ne s'agit pas de peindre la vie, il s'agit de rendre vivante la peinture.
Puisque tous les peintres entreprennent les mêmes choses, se heurtent aux mêmes difficultés, utilisent les mêmes moyens, c'est que les différences proviennent de l'intérieur.
Avant d'être l'expression d'un génie unique, la peinture se doit d'être l'exercice obstiné, intense, d'un métier.
La fausseté, c'est découper un morceau de la nature et le copier.
Tout à son moment de beauté.
La couleur a une logique aussi logique que la forme.