17 citations de Tchouang Tseu

Tchouang Tseu ou Zhuangzi, est un penseur chinois du IVe siècle av. J.-C. à qui l'on attribue la paternité d'un texte essentiel du taoïsme appelé de son nom – le Zhuangzi.
- Genre : Homme
- Nationalité : Chinois
- Profession, récompense : Philosophe
-
Personne n'est touché par un verbiage fallacieux ; par des larmes, des éclats, un pathos de comédien. Tandis que les sentiments vrais se communiquent à autrui, sans artifice de paroles ni de gestes.
-
-
La vie d'un homme entre ciel et terre passe comme le saut d'un poulain blanc franchissant un fossé : un éclair et c'est fait.
-
Le Sage diffère du commun, en ce qu'il se tient tranquille et évite ce qui le troublerait. Le vulgaire fait tout le contraire, cherchant le trouble, fuyant la paix.
-
L'esprit sage est le miroir du ciel et de la terre, dans lequel toutes les choses se réfléchissent.
-
La respiration d'un homme accompli vient des talons. Celle du vulgaire vient de la gorge.
-
Une personne avisée pénètre la vérité des choses, sait s'en tenir à l'essentiel.
-
Connaître les actes respectifs du ciel et des humains est le summum du savoir.
-
Un vivant doit avant tout soigner son corps. Qui ne veut pas soigner son corps ferait mieux de quitter le monde.
-
Toutes les eaux y confluent sans la remplir, toutes les eaux en sortent sans la vider. Voilà pourquoi je vais à la mer.
-
Manquer de biens, c'est être pauvre. Savoir et ne pas faire, c'est être malheureux. Je suis très pauvre ; je ne suis pas malheureux.
-
Bien que les pieds de l'homme n'occupent qu'un petit coin de la terre, c'est par tout l'espace qu'il n'occupe pas que l'homme peut marcher sur la terre immense.