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Soyez philosophe ; mais, au milieu de toute votre philosophie, soyez toujours un homme.
Soyez philosophe ; mais, au milieu de toute votre philosophie, soyez toujours un homme.Enquête sur l'entendement humain
Une passion doit s'accompagner de quelque faux jugement pour être déraisonnable ; même alors ce n'est pas, à proprement parler, la passion qui est déraisonnable, c'est le jugement.Traité de la nature humaine
Puisque rien ne peut être contraire à la vérité ou à la raison sinon ce qui s'y rapporte et que, seuls les jugements de notre entendement s'y rapportent ainsi, il doit en résulter que les passions ne peuvent être contraires à la raison que dans la mesure où elles s'accompagnent d'un jugement ou d'une opinion.Traité de la nature humaine
Un homme versé dans l'histoire peut être regardé comme ayant vécu depuis le commencement du monde.
La beauté des choses n'existe que dans l'esprit de celui qui les contemple.
La beauté n'est pas une qualité intrinsèque des choses. Elle n'existe que dans l'esprit de celui qui les contemple.
La passion est une existence primitive ou, si vous le voulez, un mode primitif d’existence.
La croyance n'est rien qu’une conception d'un objet plus vive, plus vivante, plus forte, plus ferme, plus stable que celle que l'imagination seule est jamais capable d'obtenir.
L'homme est un être raisonnable ; et, comme tel, il reçoit de la science sa nourriture propre et son aliment, mais les frontières de l'entendement humain sont si resserrées qu'on ne peut espérer sur ce point que peu de satisfaction pour l'étendue et pour la sécurité de ses acquisitions.
Il faut oublier les folies d'un jour pour faire place à celles du lendemain.
La coutume, ainsi, est le grand guide de la vie humaine.
Rien ne paraît plus surprenant à ceux qui contemplent les choses humaines d'un œil philosophique, que de voir la facilité avec laquelle le grand nombre est gouverné par le petit, et l'humble soumission avec laquelle les hommes sacrifient leurs sentiments.Les Premiers Principes du Gouvernement (1752)
Le malheur d'autrui nous donne une idée plus vive de notre bonheur, et son bonheur une plus vive idée de notre malheur.Enquête sur les principes de la morale (1751)