• Ce qui compte ne peut pas toujours être compté, et ce qui peut être compté ne compte pas forcément.
  • La liberté consiste à se discipliner au lieu de se laisser discipliner.
  • La valeur morale ne peut pas être remplacée par la valeur intelligence et j'ajouterai : Dieu merci !
    Comment je vois le monde, éd. Flammarion
  • L'information n'est pas la connaissance. La seule source de connaissances est l'expérience. Vous avez besoin d'expérience pour acquérir la sagesse.
  • Ce qui m'intéresse vraiment, c'est de savoir si Dieu avait le choix dans la création du monde.
  • Il est grand temps de substituer à l'idéal du succès l'idéal du service.
  • Je suis reconnaissant à tous ceux qui m'ont dit non. C'est à grâce à eux que je suis moi-même.
  • Ne considérez jamais l'étude comme une obligation mais comme une opportunité de pénétrer dans le beau et merveilleux monde du savoir.
  • Pour les physiciens, la distinction entre le passé, le présent et l'avenir n'est qu'une illusion, même si elle est têtue.
  • Éveiller et renforcer le plaisir de travailler chez le jeune homme est la tâche la plus importante pour les éducateurs. Seule une telle base conduit au bonheur de posséder l'un de ces biens les plus précieux du monde : la connaissance ou l'habileté artistique.
  • Le mot Dieu n'est pour moi rien d'autre que l'expression et le produit des faiblesses humaines, et la Bible un recueil de légendes vénérables mais malgré tout assez primitives.
    Lettre à Éric Gutkind, 3 janvier 1954
  • Je suis assez artiste pour puiser librement dans mon imagination. L'imagination est plus important que la connaissance. Les connaissances sont limitées. L'imagination entoure le monde.
  • Le mental intuitif est un don sacré et le mental rationnel est un serviteur fidèle. Nous avons créé une société qui honore le serviteur et a oublié le don.
  • Dans le désordre, trouvez la simplicité. Dans la discorde, trouvez l'harmonie. Au milieu de la difficulté, trouvez une opportunité.
  • La mort n'est pas la pire chose de la vie. Le pire, c'est ce qui meurt en nous quand on vit.