Michelangelo di Lodovico Buonarroti Simoni ou simplement Michel-Ange, en français (6 mars 1475 - 18 février 1564) est un sculpteur, peintre, architecte, poète et urbaniste florentin de la Renaissance.
  • Les souffrances humaines ont leur terme par la mort.
    Madrigal LVII, La souffrance
  • J'écris seulement pour exhaler la douleur intérieure dont se nourrit mon cœur.
    Sonnet I, À Vittoria Colonna
  • L'amour ranime, redresse, et déploie nos ailes pour un vol sublime.
    Sonnet VIII, À Vittoria Colonna
  • L'amour, c'est l'aile que Dieu a donnée à l'homme pour monter jusqu'à lui.
    Les lettres familières
  • La rumeur blesse l'honneur, et donne la mort.
    Épître, À Vittoria Colonna
  • Aujourd'hui, lassé par les ans, je donne des ailes à mes pensées et je me stimule moi-même vers un but plus noble et plus sûr [...]
    Sonnet LII
  • Le mal nuit davantage que le bien ne profite.
    Madrigal XXII
  • Un grand bonheur fait supporter une grande souffrance.
    Madrigal XV
  • Insensé celui qui, entraîné par son désir avide vers une beauté séduisante, s'en va, aveugle et sourd pour son bien, au-devant du trait de l'amour.
    Sonnet XVII, Les amants
  • Il n'existe rien qui rende un noble cœur amoureux, si ce n'est un beau visage.
    Madrigal VIII, Sur l'amour idéal
  • Tout ce qui est beau, tout ce qui charme, passe en un instant des yeux au cœur.
    Sonnet X, L'amour idéal
  • Loin de toi, il me semble que tout en moi succombe, que mon cœur perd toute sa force.
    Sonnet XIV, À Vittoria Colonna
  • De même que le feu ne peut être séparé de la chaleur, le beau ne peut pas être séparé de l'Être éternel.
    Sonnet VI, À Vittoria Colonna
  • La sensualité est un désir effréné qui tue l'âme, et non l'amour.
    Sonnet II, À Vittoria Colonna
  • Seigneur, accordez-moi la grâce de toujours désirer plus que je ne peux accomplir.
    Les lettres familières