• Souvent, il me semble que la nuit est encore plus richement colorée que le jour.
  • Je préfère mourir de passion que d'ennui.
  • Il est bon d'aimer autant que l'on peut, car c'est là que gît la vraie force, et celui qui aime beaucoup accomplit de grandes choses et en est capable, et ce qui se fait par amour est bien fait.
  • J'éprouve une passion irrésistible pour les livres et un besoin constant de cultiver mon esprit, d'étudier, qui m'est aussi vital que le pain.
    Lettres à son frère Theo
  • Ayez plus d'espérance que de souvenirs ; ce qu'il y a eu de sérieux et de béni dans votre vie passée n'est pas perdu ; ne vous en occupez donc plus, vous le retrouverez ailleurs, mais avancez.
    Lettre à son frère Theo
  • Continuez à marcher beaucoup et à aimer la nature, car c'est la vraie façon d'apprendre au mieux et comprendre l'art.
    Lettre à son frère Theo, janvier 1874
  • La réussite est parfois le résultat de toute une série d'échecs.
    Lettre à son frère Theo, 1er octobre 1882
  • S'accrocher au présent et ne pas le laisser passer sans s'arranger pour en tirer quelque chose, voilà ce que je considère comme le devoir.
    Lettre à son frère Theo, 22 juillet 1883
  • J'ai un métier sale et pénible, la peinture, et si je n'étais pas comme je suis, je ne peindrais pas mais étant comme je suis, je travaille souvent avec plaisir, et je vois la possibilité de faire des peintures dans lesquelles il y a de la jeunesse et de la fraîcheur, bien que ma propre jeunesse soit une de ces choses que j'ai perdues.
    Lettre à Willemien van Gogh, fin octobre 1887
  • L'art est jaloux et requiert tout notre temps, toute notre énergie.
    Lettre à Anthon van Rappard, mardi 6 juin 1882
  • Je suis un artiste, parole que je ne retire pas, parce qu'il est évident qu'elle implique l'idée d'une recherche constante, sans jamais trouver la perfection.
    Lettre à son frère Theo, 7 mai 1882
  • La conscience est la boussole de l'être humain et, bien que l'aiguille dévie parfois, […], il faut néanmoins faire de son mieux pour garder le cap.
    Lettre à son frère Theo, décembre 1882
  • Mon pinceau va entre mes doigts comme serait un archet sur le violon.
    Lettre à son frère Theo, 20 septembre 1889
  • Tu ne sais pas à quel point c'est paralysant, cette toile blanche qui dévisage le peintre et lui dit : tu n'es capable de rien. […] Beaucoup de peintres ont peur de la toile blanche, mais la toile vierge a peur du peintre vraiment passionné qui ose – et qui a une fois brisé le charme du « tu ne peux pas ».
    Lettre à son frère Theo, 2 octobre 1884
  • À mon sens, je suis souvent richissime, non pas en argent mais […] riche d'avoir trouvé mon travail, d'avoir une chose pour laquelle je vis corps et âme et qui donne inspiration et sens à la vie.
    Lettre à son frère Theo, dimanche 11 mars 1883
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