• Les remords d'une belle femme ce sont des regrets.
    Les nouvelles guêpes (1853)
  • Être riche, c'est vivre sans aucune privation ; c'est tenir un équilibre juste et constant entre ses besoins ou ses désirs, et les moyens de les satisfaire.
    Une heure trop tard (1833)
  • La vie se partage en deux parts : l'espérance et les regrets.
    Sous les tilleuls (1832)
  • Il y a des malheureux imaginaires, comme des malades imaginaires.
    La maison de l'ogre (1890)
  • L'amour d'une femme est le soleil de l'âme ; il donne la vie et la force.
    Sous les tilleuls (1832)
  • Le roman est l'histoire éternelle du coeur humain. L'histoire vous parle des autres, le roman vous parle de vous.
  • En France on parle quelquefois de l'agriculture, mais on n'y pense jamais.
  • Il n'y a guère que ceux qui n'ont pas assez de pain qui en donnent à ceux qui n'en ont pas du tout.
    Les femmes (1853)
  • Chez une belle et jolie femme la modestie l'embellit encore !
  • L'ingratitude est la monnaie dont est payé le plus souvent un bienfaiteur.
  • On aime ceux à qui on fait du bien. Les moralistes ont dit cent sottises en exigeant du dévouement de l'obligé ; c'est le bienfaiteur qui a tout le bonheur du bienfait, c'est lui qui doit et qui a la reconnaissance. S'il l'attend, c'est un fou ; s'il l'exige, c'est un usurier.
    Les femmes (1853)
  • Peut-être le bonheur n'est-il qu'un contraste, mais il y a une foule de petits bonheurs qui suffisent pour parfumer la vie.
    Sous les tilleuls du bonheur
  • Il est bon de démontrer une supercherie de telle façon que personne n'en puisse être dupe à l'avenir.
  • Seuls les gens que j'aime peuvent voir, toucher et blesser mon cœur, qui, pour eux, est ouvert et découvert ; les autres ne peuvent atteindre que la peau, et ma peau est endurcie.
  • La déclaration d'amour est comme la déclaration de guerre : elle doit précéder les premières attaques et les premières hostilités.
    Feu Bressier (1844)