Suivez-nous :
Accepter d'être consolé, c'est accepter d'être faible et d'être aidé. C'est un acte d'humilité.
Accepter d'être consolé, c'est accepter d'être faible et d'être aidé. C'est un acte d'humilité.Consolations, éd. L'Iconoclaste
La pleine conscience doit nous aider à ne pas en rester au "miroitement du réel". La vision pénétrante nous permet de sonder la nature des choses, de ne pas nous laisser abuser par les apparences.Les Rencontres perspectives
Il y a un grand malentendu qui empêche de goûter la joie inconditionnelle. À tort, nous croyons qu'elle ne sera possible que le jour où nous aurons guéri de toutes nos blessures, alors que cette joie sans pourquoi est possible dès maintenant, même au cœur du tourment. Nous pouvons y accéder, là, tout de suite.
Pour accepter d'être consolé, il faut accepter d'être aussi démuni et fragile qu'un enfant, il faut quitter ses habits de grand, ses manières d'adulte, son costume de puissance, son masque de force, ses certitudes.Les rencontres Perspectives
La souffrance nous fragilise, la consolation nous humanise. Elle nous rappelle qu'être humain, c'est appartenir à une communauté où tous les uns ont besoins de tous les autres.Les rencontres Perspectives
Il faut accepter une fois pour toutes l'idée que nous sommes des intermittents du bonheur, de la joie, de l'amour, et que c'est absolument normal. C'est pourquoi il faut s'attacher à les faire renaître régulièrement dans nos vies.
Aimer, c'est se réjouir que l'autre existe.
L'obsession et l'obligation de réussir sont souvent un bon moyen de ne pas réussir ; et un excellent moyen de beaucoup se stresser et stresser les autres. Faire simplement de notre mieux, à chaque fois.
Le vieillissement heureux c'est d'abandonner ses regrets et conserver des projets, chérir ses bons souvenirs et ne plus se soucier de son avenir : juste l'écrire de son mieux.
Et si nous gardions du temps pour ne rien faire, pour contempler, pour respirer ?
La spiritualité, c'est ne pas fuir devant ce qui nous dépasse mais, au contraire, s'y exposer en pleine conscience. Ce qui nous dépasse ? Ces trois vertiges que sont l'infini, l'éternité et l'absolu.
Les états d'âme sont l'expression et le siège de la conscience de soi.
Le bonheur est une construction qui se nourrit d’actions et de décisions.
Être libre, c'est être maître de soi-même et des mouvements de son âme.
Plus une société ou un individu est matérialiste, plus il s'éloigne du bonheur.