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Baiser : Dire embrasser, plus décent. Doux larcin. Le baiser se dépose sur le front d'une jeune fille, la joue d'une maman, la main d'une jolie femme, le cou d'un enfant, les lèvres d'une maîtresse.
Baiser : Dire embrasser, plus décent. Doux larcin. Le baiser se dépose sur le front d'une jeune fille, la joue d'une maman, la main d'une jolie femme, le cou d'un enfant, les lèvres d'une maîtresse.Dictionnaire des idées reçues
Mémoire : se plaindre de la sienne et même se vanter de ne pas en avoir mais rugir si on vous dit que vous n'avez pas de jugement.Dictionnaire des idées reçues
Lire certains articles dans les journaux, c'est du temps perdu. Autant bâiller aux corneilles que de se nourrir de toutes les turpitudes quotidiennes qui sont la pâture des imbéciles.Lettre à Louise Colet, 8 février 1852
Après ne pas vivre avec ceux qu'on aime, le plus grand supplice est de vivre avec ceux que l'on n'aime pas. C'est-à-dire avec plus des trois quarts du genre humain.Lettre à Louise Colet, 1847
La patrie est comme la famille, on n'en sent bien le prix que lorsqu'on n'en a plus.Lettre à Ernest Chevalier, 28 avril 1847
Si je t'écris, c'est peut-être pour ne pas rester seul avec moi, comme on allume sa lampe la nuit quand on a peur.
Le premier devoir d'un ami est d'obliger son ami.Lettre à Charles Baudelaire, 19 janvier 1862
Une lecture m'émeut plus qu'un malheur réel.
Laisser manger son temps par les fâcheux, c'est la pire manière de le perdre.Lettre à sa nièce Caroline, 9 septembre 1873
La littérature, le meilleur moyen d'escamoter une existence.
Le sein de la mère est un sanctuaire impénétrable et mystérieux.Lettre à Louise Colet, 7 avril 1854
Il faut mettre son cœur dans l'art, son esprit dans le commerce du monde, son corps où il se trouve bien, sa bourse dans sa poche et son espoir nulle part.
Les fous furieux sont moins abominables que les idiots.Lettre à Madame Régnier, 16 janvier 1873
L'organe génital est le fond des tendresses humaines.
Aimer, c'est s'unir avec un mélange de tendresse et de plaisir, se voir avec charme.Lettre à Louise Colet, 30 avril 1847