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Le bonheur c'est peut-être ça : l'imagination. Quand on en manque, il ne reste plus que les platitudes de la vie.
Le bonheur c'est peut-être ça : l'imagination. Quand on en manque, il ne reste plus que les platitudes de la vie.Un gentleman-farmer
La Toussaint est le jour où les morts de demain vont rendre visite à ceux d'hier.
Après tout, il faut avoir une jeunesse. L'âge où l'on se décide à être jeune importe peu...
Tout pourrait être mieux, mais tout pourrait être plus mal. Donc tout est bien !
La jeunesse est une courte erreur, et la vieillesse un long regret.
On prend un amant comme un miroir, non pour le regarder, mais pour s'y regarder.
Le mariage, un petit jeu de satiété.
Les plaisirs sont faits pour les gens qui ne s'amusent pas.
Le coeur des hommes est une bibliothèque où s'alignent les romans tragiques, les idylles, les livres gais et aussi quelques livres légers : une bibliothèque rangée sans ordre apparent, mais complète.
Et dire que les vieux arbres sont si beaux ! Hélas, on n'est pas de bois.
La passion, c'est l'amour des autres…
L'argent dont on dit tant de mal, remplit tout au moins un rôle bienfaisant : celui de distraire des misères du coeur.
La vérité ? Un coup de couteau qui peut débrider parfois une plaie, crever un abcès.
Les roses ne sont pas à plaindre… Au moins, elles ne savent pas, elles, qu'elles se faneront.
Le luxe, c'est l'art des imbéciles.