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Dès que nous perdons la base morale, nous cessons d'être religieux. La religion ne saurait renverser et supplanter la moralité.
Dès que nous perdons la base morale, nous cessons d'être religieux. La religion ne saurait renverser et supplanter la moralité.
Dans nos efforts pour avancer, il se peut que nous nous trompions, parfois même lourdement. Mais l'homme est un être qui doit se diriger lui-même ; cette autonomie suppose le pouvoir de commettre des erreurs et de les corriger aussi souvent qu'on en fait.
Chaque bonne réalisation, grande ou petite, connaît ses périodes de corvée et de triomphe : un début, un combat et une victoire.
Si un homme atteint le coeur de sa propre religion, il atteint également le coeur des autres religions.
Nul être humain n'est trop mauvais pour être sauvé. Nul être humain n'est assez parfait pour avoir le droit de tuer celui qu'il considère à tort comme entièrement mauvais.La Jeune Inde, éd. Stock
L'ennemi, c'est la peur. Nous pensons que c'est la haine, mais c'est la peur.
La vraie beauté, après tout c'est seulement la pureté du cœur.
Je ne permettrai à personne de marcher dans mon esprit avec les pieds sales.
La haine tue toujours, l'amour ne meurt jamais.
La non-violence, sous sa forme active, consiste en une bienveillance envers tout ce qui existe. C'est l'amour pur.
Toute Âme qui s'élève élève le Monde.
Là où il n'y a le choix qu'entre lâcheté et violence, je conseillerai violence.
Notre pouvoir ne réside pas dans notre capacité à refaire le monde, mais dans notre habileté à nous recréer nous-même.
Un service rendu sans joie n'enrichit ni celui qui le rend, ni celui qui le reçoit. Mais tous les biens et les plaisirs matériels se dissolvent dans le néant face à un service rendu dans un esprit de joie.
Mon exigence pour le vérité m'a elle-même enseigné la beauté du compromis.