• Chaque fois que tu veux connaître le fond d'une chose, confie-la au temps.
  • Le sage regarde, en toutes choses, non le résultat, mais la décision qu'il a prise.
  • L'être humain est une chose abjecte et vile, s'il ne s'élève au-dessus de l'humanité.
  • Reconnaître ses défauts, un premier pas vers la vertu.
  • Le vrai sage n'est pas un spéculatif mais un homme simple, honnête et courageux.
  • Le vrai bonheur ne cherche pas à l'extérieur ses éléments : c'est en nous que nous le cultivons ; c'est de lui-même qu'il sort tout entier. On tombe à la merci de la Fortune, dès qu'on cherche au-dehors quelque part de soi.
    Lettres à Lucilius
  • L'inquiétude de l'esprit procède de la vanité de ses pensées.
  • Pour être heureux, il faut éliminer deux choses : la peur d'un mal futur et le souvenir d'un mal passé.
  • Celui qui a rendu un service doit se taire : c'est à celui qui l'a reçu de parler.
  • Si pourtant, l'on pouvait faire à chacun le nombre, à l'instar de celui des ans qu'il a déjà vécus, des ans qu'il lui reste à vivre, comme trembleraient ceux qui verraient le peu de temps qui leur reste, et comme ils géreraient ces années avec parcimonie.
  • La vie qui nous échoit n'est pas brève, nous la rendons brève ; elle ne nous fait pas défaut, nous la gaspillons.
    De la brièveté de la vie
  • Nul châtiment n’est pire que le remords.
  • Nous ne sommes pas sur terre pour filtrer des boissons et faire cuire des aliments, mais pour contribuer au perfectionnement de notre âme.
  • Il faut déplier son âme et remuer continuellement tout ce qu'on y a mis en dépôt, afin que cette richesse soit prête chaque fois que le besoin l'exige.
  • Le vrai calme est celui de la bonne conscience.