• Le vrai secours aux misérables, c'est l'abolition de la misère.
  • L'ignorance est un crépuscule, le mal y rode. Songez à l'éclairage des rues, soit, mais songez aussi, songez surtout, à l'éclairage des esprits.
  • Je voudrais signer ma vie par un grand acte, et mourir. Ainsi, la fondation des États-Unis d'Europe.
    Note de 1876-1878
  • Les trois marches du perron suprême. La liberté, c'est le droit, l'égalité c'est le fait, la fraternité c'est le devoir.
  • Plus de frontières ! Le Rhin à tous ! Soyons la même République, soyons les États-Unis d'Europe, soyons la fédération continentale, soyons la liberté européenne, soyons la paix universelle.
    Discours à l'Assemblée nationale, 1er mars 1871
  • Ce commencement de fraternité qui s'appelle la tolérance.
    Discours pour Voltaire, 30 mai 1878
  • La liberté consiste à choisir entre deux esclavages : l'égoïsme et la conscience. Celui qui choisit la conscience est un homme libre.
  • Remplacer la pensée par la rêverie, c'est confondre un poison avec une nourriture.
    Les Misérables
  • Il faut s'aimer, et puis il faut se le dire, et puis il faut se l'écrire.
  • La plus triste des séparations n'est que le début du chemin vers la plus belle des rencontres.
  • La presse a succédé au catéchisme dans le gouvernement du monde. Après le pape, le papier.
    Tas de pierres
  • L'amour est une puissance, il ne peut rien craindre ; l'amour est une loyauté, il ne doit rien cacher.
  • Les bêtes sont au bon Dieu, mais la bêtise est à l'homme.
  • Les plus belles années d'une vie sont celles que l'on n'a pas encore vécues.
  • Aimer quelqu'un, c'est lui donner de l'importance à ses propres yeux, l'aider à croire en lui-même.