• Dès que nous tenons une opinion, elle nous tient.
    Propos sur l'éducation (1932)
  • Espérer, c'est être heureux.
    Propos sur le bonheur (1925)
  • Ma grande objection à l'argent, c'est que l'argent est bête.
    Propos de politique (1934)
  • L'amour, comme l'amitié, se nourrit seulement de surmonter, de pardonner et de permettre.
    Les Saisons de l'esprit (1937)
  • Chacun doute le mieux de ce qu'il connaît aussi le mieux.
    Éléments de philosophie (1916)
  • Le temps n'est rien si on ne le pense.
    Les Saisons de l'esprit (1937)
  • Le caractère, c'est l'humeur pensée.
    Propos de littérature (1934)
  • Le beau est un genre de vrai, mais qui échappe à ceux qui cherchent le vrai.
    Propos d'un Normand (1912)
  • Le sourire est l'arme du sage, contre ses propres passions et contre celles d'autrui.
    Éléments de philosophie (1916)
  • L'amitié est une société libre où la contradiction plaît par la pensée commune qu'elle fait ressortir.
    Éléments de philosophie (1916)
  • L'oisiveté est mère de tous les vices, mais de toutes les vertus aussi.
    Propos sur le bonheur (1925)
  • Le sommeil est un plaisir où l'on s'y perd ; on y glisse ; on s'y plonge.
    Propos sur l'éducation (1932)
  • Qui se vante de ne point se laisser tromper, c'est celui-là que l'on trompera si l'on peut.
    Sentiments, passions et signes (1926)
  • Chez l'adolescent, la première conscience est une conscience malade.
    Idées, introduction à la philosophie (1945)
  • Les vices ne sont que des vertus à mi-chemin.
    Propos sur l'éducation (1932)