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On parle toujours de fanatisme aveugle, comme s'il y avait des fanatismes clairvoyants.
On parle toujours de fanatisme aveugle, comme s'il y avait des fanatismes clairvoyants.
L'immense supériorité de la religion sur toute autre forme de pensée tient à son sens aigu du mystère des choses.
En France tout revers a sa médaille.
Grâce à la télévision, on finit toujours par apprendre des vérités, mais il faut être patient et quelque peu noctambule.
L'histoire du monde est celle d'une interminable querelle de l'homme avec son Dieu, ou avec l'idée qu'il s'en fait.
Il arrive que l'histoire repasse les plats mais ce sont rarement les meilleurs.
Pour l'athée, l'hypothèse de l'existence de Dieu n'est pas à retenir : celle de l'existence du diable reste à considérer. En tout cas des deux hypothèses la deuxième lui paraîtra la moins déraisonnable.
La nation est une famille, le nationalisme une abstraction.
On ne dure en France que dans l'opposition et le seul moyen d'échapper au changement, c'est de le réclamer tous les jours.
Passerait-on un millier de siècles en présence de Dieu, qu'on ne le verrait jamais que pour la première fois.
On va chercher dans les sectes un peu de cette chaleur que produisent les inquiétudes et les désarrois partagés dans un monde gagné par le froid de l'indifférence.
Ce n'est pas la toute-puissance de Dieu qui nous menace… mais sa douceur.
Le mot "légitime" perd toute espèce de sens quand on l'associe à celui d'"ambition".
La raison déraisonne sans la foi, telle est la leçon la plus claire du siècle.
Le problème du chrétien devant la vérité n'est pas de la découvrir, mais de lui ressembler.