Katherine Pancol, née le 22 octobre 1954, est une journaliste et romancière française.
  • Apprenons à regarder autour de nous, à apprécier les choses simples de la vie, à nous réjouir d'un regard, d'un sourire, à se préoccuper de notre prochain.
  • La lecture n'est pas une activité innocente. On n'en sort pas toujours indemne.
  • On n'apprend rien sur des peaux lisses, les doigts glissent alors que les rides renferment mille merveilles.
  • Un amour commence à exister quand chacun offre à l'autre le fond de ses pensées, les secrets les plus verrouillés...
  • On est soi-même l'artisan de son bonheur et on en est parfois aussi le principal obstacle.
  • C'est dans le rêve que respirent les âmes. Dans le rêve que se glisse la grandeur de l'homme.
  • J'ai compris que le bonheur, ce n'est pas de vivre une petite vie sans embrouilles, sans faire d'erreurs ni bouger. Le bonheur, c'est d'accepter la lutte, l'effort, le doute et d'avancer, d'avancer en franchissant chaque obstacle.
  • On est toujours maladroit avec les gens qu'on aime.
  • Je crois bien que c'est ça le vrai amour : avoir l'impression d'être dans sa vie, pas à côté. Au bon endroit. Ne pas avoir besoin de se forcer, de se tortiller pour plaire à l'autre, rester comme on est.
  • Est-ce qu'on sait tout de l'autre quand on aime les mêmes livres ? Est-ce que les livres sont un moyen de tout se dire, même l'inavoué, le plus terrible secret ?
    Un homme à distance, éd. Albin Michel
  • C'est cela la vraie solitude... Se retrouver seule et apprendre à s'estimer, avancer sans encouragements, sans autres applaudissements que ceux que l'on s'accorde dans le silence effroyable du tête-à-tête de l'âme. Quand on a appris à s'aimer à deux, c'est dur de s'aimer toute seule.
  • Il y a des gens dont le regard vous améliore. C'est très rare, mais quand on les rencontre, il ne faut pas les laisser passer.
  • C'est pour ça qu'il faut se parler, toujours. Sinon on entasse les malentendus et on devient malentendants. On ne s'écoute plus.
  • Mon plus grand bonheur quand j'écris, c'est lorsque mes personnages m'échappent et ne font qu'à leur tête.
  • C'est toujours dans les yeux qu'on voit si les gens sont heureux ou tristes. Le regard, on ne peut pas le maquiller.