Henry Miller ( - ) est un romancier américain.
  • Genre : Homme
  • Nationalité : Américaine
  • Profession, récompense : Écrivain
  • Date de naissance : 26 décembre 1891
  • Date de décès : 7 juin 1980
  • Chaque homme a sa destiné propre. Le seul impératif est de la suivre et de l'accepter, où qu'elle le mène.
  • Je ne suis pas seul. Je suis au milieu d'autres solitaires. Et chacun de nous parle son propre langage unique ! C'est comme la rencontre de dieux éloignés, chacun enveloppé dans l'aura de son propre monde incompréhensible.
  • Il n'est pas un de nous qui ne soit coupable d'un crime : celui, énorme, de ne pas vivre pleinement la vie.
    La Crucifixion en rose (1949)
  • Tout est devant nous. Le chemin ne finit pas, plus on avance, plus la route s'ouvre à nos yeux.
  • Ne pas dire un mot de toute une journée, ne pas voir de journal, ne pas entendre la radio, ne pas écouter de commérages, s'abandonner absolument, complètement, à la paresse, être absolument, complètement indifférent au sort du monde, c'est la plus belle médecine qu'on puisse s'administrer.
  • Être joyeux, c'est être un fou en liberté dans un monde de tristesse et de fantômes…
    Sexus, éd. Buchet-Chastel
  • Fais n'importe quoi, mais tires-en de la joie.
    Le Sourire au pied de l'échelle (1948)
  • Celui qui ne connaît pas l'amour ne sait pas qui il est.
    Lettres d'amour à Brenda Venus
  • C'est la roue qui fut la grande découverte. L'homme, depuis, s'est perdu dans un dédale d'inventions chétives, purement accessoires quand on les compare à la grandeur du fait premier : la révolution même de la roue.
    Le Colosse de Maroussi (1941)
  • On a toujours le choix entre deux routes : l'une qui ramène à la commodité et à la sécurité de la mort, l'autre qui va droit devant, tout en ne menant nulle part.
    Le Colosse de Maroussi (1941)
  • Notre destin n'est jamais un lieu, mais une nouvelle façon de regarder les choses.
  • Je n'appelle pas poètes les gens qui font des vers, avec ou sans rimes, mais l'homme qui est capable de changer profondément le monde.
    Le temps des assassins, essai sur Rimbaud, éd. 10/18
  • Je suis assez fou pour croire que l'homme le plus heureux sur terre est celui qui a le moins de besoins.
    Le Colosse de Maroussi (1941)
  • Bien que je sois né américain et bien que je sois devenu ce qu'on appelle un expatrié, je considère le monde non pas comme un partisan de tel ou tel pays mais comme un citoyen du monde.
    Le Cauchemar climatisé (1945)
  • Désirer n'est pas seulement souhaiter. Désirer, c'est devenir ce que l'on est par essence.
    Le Colosse de Maroussi (1941)
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