Quino, nom de plume de Joaquín Salvador Lavado Tejón (17 juillet 1932 - 30 septembre 2020), est un dessinateur et auteur de bande dessinée humoristique argentin. Fils d'immigrants espagnols, il étudie les beaux-arts avant de publier ses premiers dessins humoristiques en 1954. Sa renommée internationale vient de sa série Mafalda, créée en 1964. Cette petite fille intelligente et contestataire est un personnage culte, une icône de la satire politique et sociale. Son travail est récompensé par de nombreux prix, dont le Prix Prince des Asturies de la Communication et des Humanités en 2014. Crédit photo : ActuaLitté
  • Genre : Homme
  • Nationalité : Argentin
  • Professions : Auteur, Dessinateur
  • Date de naissance : 17 juillet 1932
  • Date de décès : 30 septembre 2020
  • Le monde, c'est comme un théâtre, et nous, nous n'en sommes encore qu'à la générale !
  • Le racisme est une chose que je ne peux pas comprendre ! Je trouve monstrueux de considérer qu'il y a des êtres qui sont inférieurs, simplement parce qu'ils ne sont pas comme nous. Ils ont déjà ce handicap !
  • Il n'y a rien de meilleur que de s'être résigné à ce que tout aille mal, pour se sentir heureux.
  • La salle de classe est le living room de la culture.
  • Travailler pour gagner sa vie, OK. Mais pourquoi faut-il que cette vie qu'on gagne, il faille la gaspiller à travailler pour gagner sa vie ?
  • Puisque nous aimer les uns les autres, on n'y arrive pas, pourquoi on n'essaierait pas de nous aimer les autres les uns ?
  • Le calendrier, c'est la bureaucratie du temps.
  • Vous n'avez pas des béquilles pour le moral ?
  • Je n'ai rien contre les pauvres. Je crois qu'ils méritent aide et compréhension. Je dirai même plus. Je suis convaincue que la majorité des gens qui sont pauvres ne le font pas par méchanceté.
  • Peut-être que les grands hommes, ça vient par vagues, un siècle sur deux ?
  • Peut-être bien qu'en ce monde, il y a de plus en plus de gens et de moins en moins de personnes.
  • La vie, c'est un peu comme un film… Les uns ont les premiers rôles, les autres un petit rôle de rien du tout.
  • Le problème avec la folie des grandeurs, c'est qu'on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie.
  • Le malheur avec la grande famille humaine, c'est que tout le monde veut en être le père.
  • L'ennui, quand on est petit, c'est qu'on raconte sa vie en moins de deux.