• On s'en va parce qu'on a besoin de distraction, et l'on revient parce qu'on a besoin de bonheur.
  • L'entêtement sans l'intelligence, c'est la sottise soudée au bout de la bêtise et lui servant de rallonge.
  • Rien n'est si doux que le charme d'aimer !
  • C'est par le réel qu'in vit ; c'est par l'idéal qu'on existe. Or, veut-on se rendre compte de la différence ? Les animaux vivent, l'homme existe.
  • Le suprême bonheur dans la vie, c'est la conviction qu'on est aimé.
  • Je voue mon esprit à contempler le monde et à étudier le mystère. Je passe ma vie entre un point d'admiration et un point d'interrogation.
  • La vie n'est qu'une longue perte de tout ce qu'on aime.
  • Le rire aux éclats est la dernière ressource de la rage et du désespoir.
  • Chose étrange, après dix-huit siècles de progrès, la liberté de l'esprit est proclamée, la liberté de cœur ne l'est pas. Et pourtant aimer n'est pas un moins grand droit de l'homme que penser.
    Post-scriptum de ma vie
  • Le vrai bonheur, c'est toi, c'est ta voix, c'est ton regard, c'est tout ce qui me charme et m'enivre.
  • Un jour, espérons-le, le globe sera civilisé. Tous les points de la demeure humaine seront éclairés, et alors sera accompli le magnifique rêve de l'intelligence : avoir pour patrie le Monde et pour nation l'Humanité.
    Les Burgraves (1843)
  • Rien n'est solitaire, tout est solidaire. L'homme est solidaire avec la planète, la planète est solidaire avec le soleil, le soleil est solidaire avec l'étoile, l'étoile est solidaire avec la nébuleuse, la nébuleuse, groupe stellaire, est solidaire avec l'infini.
  • Vivre, c'est avoir la conscience d'être.
  • Il y a un spectacle plus grand que la mer, c'est le ciel ; il y a un spectacle plus grand que le ciel, c'est l'intérieur de l'âme.
  • L'odieux est la porte de sortie du ridicule.
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