• Si tu comprends que toute expérience peut te faire grandir, alors tu sauras donner du sens à tout ce qui t'arrive et tu progresseras de plus en plus en joie, en sérénité, en connaissance de toi-même et du monde, et surtout en amour, qui est l'énergie la plus forte et la plus élevée de tout ce qui est.
    Rencontres Perspectives
  • Si tu arrives à dominer ta peur, plus rien ne t'atteindra, plus aucune force mauvaise n'aura d'emprise sur ton cœur. Et pour vaincre la peur il n'y a qu'un remède : l'amour. Tout le chemin de la vie c'est de passer de la peur à l'amour.
    Rencontres Perspectives
  • La sagesse nous apprend à désirer et à aimer ce qui est. Elle nous apprend à dire "oui" à la vie. Un bonheur profond et durable devient possible dès lors que nous transformons notre propre regard sur le monde. Nous découvrons alors que bonheur et malheur ne dépendent plus tant des causes extérieures que de notre "état d'être".
    Rencontres Perspectives
  • Parfois nous sommes impuissants, car certaines choses ne dépendent pas de nous. Cela nous pousse à apprendre le « lâcher-prise », à ne pas vouloir tout contrôler, à grandir dans la confiance, dans le détachement, dans l'humilité, dans la sérénité, dans l'amour.
  • Tout passe, tout est éphémère, les sublimes bonheurs comme les grands malheurs.
    Nina, éd. Stock
  • Les vertus permettent à l'être humain de déployer toutes les potentialités morales de sa nature. […] Si elle se transmet par l'éducation, la vertu se fortifie et prend racine en nous par l'exercice. C'est en forgeant qu'on devient forgeron, c'est en jouant du piano qu'on devient pianiste et c'est en posant régulièrement des actes de courage ou de tempérance qu'on devient courageux ou tempérant. […] Finalement, tout se joue chaque jour dans de petites décisions qui finissent par devenir des habitudes, bonnes ou mauvaises, vertueuses (qui m'élèvent en humanité) ou vicieuses (qui me diminuent en humanité).
    La sagesse expliquée à ceux qui la cherchent, éd Seuil
  • L'âme humaine est imprévisible. Elle se braque devant de menues contrariétés, demeure égale face aux grands gestes.
    Nina, éd. Stock
  • Les douleurs, les joies, s'inscrivent d'une étrange manière dans notre mémoire. On pense les avoir dépassées, on s'imagine qu'elles ne nous déchirent plus comme au début, mais il suffit d'une odeur, d'une chanson, pour y replonger.
    Nina, éd. Stock
  • Ne pas voir que le malheur, ne pas concentrer toute notre attention sur la douleur présente, orienter notre esprit sur ce qui nous réconforte et considérer la vie comme un tout indivisible - avec ses peines et ses joies - tout cela peut nous permettre de continuer à l'aimer, même dans l'épreuve.
    Juste après la fin du monde, éd. Nil
  • Votre âme spirituelle n'est autre qu'une parcelle infime de l'Âme du monde. C'est par elle que vous vibrez à cette « longueur d'âme » qui relie toute chose et tout être dans l'univers.
    L'Âme du monde, éd. Nil
  • Donner une signification à sa vie, c'est trouver des raisons de vivre. C'est tenter de répondre, même provisoirement, à la question : pourquoi ai-je envie de continuer à vivre ?
    Vivre ! Dans un monde imprévisible, éd. Fayard
  • La joie est le fruit d'un dévoilement : elle préexiste en nous et il nous incombe de la faire émerger.
    Du bonheur, un voyage philosophique, éd. Fayard
  • Être libre, c'est aussi ne pas agir en fonction du regard d'autrui. Or, bien souvent, nos actions ou nos réactions sont mues par le désir de plaire ou de ne pas déplaire, de se conformer aux usages communs ou bien au contraire de se rebeller contre eux, d'attirer l'attention ou de rester discrets. Agissant ainsi, nous sommes prisonniers du regard des autres. La sagesse consiste aussi à se libérer de ce regard pesant, bien souvent si intériorisé que nous n'en avons pas conscience.
    L'Âme du monde, éd. Nil
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