Suivez-nous :
Quand un gouvernement se trompe, il n'a qu'une solution : persévérer dans l'erreur.
Quand un gouvernement se trompe, il n'a qu'une solution : persévérer dans l'erreur.
Certains se préoccupent moins de ce qu'ils mettent dans leur discours que de savoir dans quelles oreilles il va tomber…
Physiquement, l'homme est un mystère ; spirituellement, c'est un abîme.
Nous avons besoin de croire. Par exemple, de croire que nous n'avons pas aimé en vain.
L'esprit est cette étrange faculté qui permet à l'homme de se séparer du monde, pour le comprendre, et de lui-même, pour se juger.
La maladie la plus répandue chez les hommes politiques est l'amnésie.
Chaque fois que les circonstances mettent en demeure l'homme politique de choisir entre le parti et la vérité, il est constant qu'il choisit le parti.
L'erreur de l'homme d'aujourd'hui, est de vivre "comme si Dieu n'existait pas".
Heureux ceux qui pleurent, car il n'est pas de larmes impures. En chacune d'elles brille un fragment d'éternité, toute larme a sa source dans un autre monde.
Ce que les mécaniciens de l'esprit n'ont pas compris, c'est que lorsque Dieu se manifeste, il n'a nullement besoin des sens : il entre en communication directe avec cette "aptitude au divin" qu'est l'âme.
On peut se demander aujourd'hui si Marx ne s'est pas trompé, et si ce n'est pas plutôt l'opium qui est devenu la religion du peuple.
Aujourd'hui, les pouvoirs conquis par la connaissance sont plus étendus que la connaissance elle-même.
Le mécontentement ne vient pas avec l'échec, qui incite à la patience, mais avec le succès qui rend exigeant.
De toutes les choses qui remuent le monde et qui agitent le coeur des hommes, l'amour est la seule qui se passe d'explication, et n'en veuille pas.
Le matérialisme libéral affiche son attachement aux droits de l'homme, mais les droits l'intéressent plus que l'homme.