Suivez-nous :
La conscience n'est pas la lumière qui éclaire l'esprit et le monde, mais c'est la lueur ou le flash qui éclaire la brèche, l'incertitude, l'horizon.
La conscience n'est pas la lumière qui éclaire l'esprit et le monde, mais c'est la lueur ou le flash qui éclaire la brèche, l'incertitude, l'horizon.Le paradigme perdu, éd. Seuil
La vie n'est supportable que si l'on y introduit non pas de l'utopie mais de la poésie, c'est-à -dire de l'intensité, de la fête, de la joie, de la communion, du bonheur et de l'amour.Vers l'abîme, éd. L'Herne
La prose de la vie est ce que nous faisons par contrainte, obligation ou ennui, la poésie de la vie est ce qui nous donne ferveur, élan, joie, communion. C'est pourquoi je dis que les aspirations poétiques de l'être humain sont en général incomprises ou sous estimées.
Les besoins poétiques de l'être humain ne sont perçus que de façon morcelée (esthétique, amours, jeux, etc..) et demeurent ignorés comme besoins fondamentaux.
Dès qu'on expose, on s'expose.
Il y a dans chaque cerveau humain un énorme trésor de souvenirs endormis et qui peut être ne se réveilleront jamais.
Les sciences n'existent et ne progressent que par le conflit des idées et théories ainsi que par la difficile victoire d'une théorie déviante sur les idées dominantes et reçues.
Un amour naissant inonde le monde de poésie, un amour qui dure irrigue de poésie la vie quotidienne, la fin d'un amour nous rejette dans la prose.
Le progrès dans les relations entre humains est plus urgent et nécessaire que le progrès technique.
Dans les situations incertaines ou conflictuelles de l'histoire humaine, la réalité obéit rarement à nos souhaits et plus encore à nos décisions.
La plus dangereuse maladie c'est d'avoir perdu la volonté de vivre.
La seule chose qui montre l'être humain dans sa subjectivité, dans ses pensées, dans ses sentiments, dans ses relations avec autrui, dans son contexte sociologique, historique et social, c'est la littérature. La littérature n'est pas seulement un art mais un mode de connaissance.
Les époques de crises, désordres, conflits, angoisses, peurs, suscitent en même temps que fureurs, haines et fantasmes, des visions unilatérales, réductrices et manichéennes. Toute vision complexe devient alors insane et perverse.
C'est la surprise, l'étonnement qui nous oblige à évoluer.
Le développement est une machine infernale de production/consommation/destruction créant des crises écologiques et économiques. Le développement individuel, quantitatif/matériel, conduit les aisés à une course vers le toujours plus, mène au mal-être au sein du bien-être.